Réflexion de forêt : nous ne traversons pas/plus(?) des crises mais des fléaux. La différence entre les deux c’est que l’ont peut sortir des premières et que l’on doit composer avec les seconds.
On ne sort pas d’une crise écologique qui génère des millions de migrants climatiques. On ne sort pas d’une descente énergétique qui génère des pertes de « confort » substantielles. On ne sort pas d’une pandémie qui est la double conséquence de la déforestation et de la mobilité humaine.
On s’adapte et on apprend à vivre avec.
En acceptant les fléaux, je regarde les choses avec plus d’humilité. Quelles attitudes solidaires adopter pour traverser ces fléaux ensemble ? Quelles relations et initiatives éviter qui essayent de sortir d’une crise ?
Peut-être que la différence entre les deux a aussi à voir avec une question de revenus… et de privilèges associés.