title: ADN, web et confidentialité
slug: adn-web-et-confidentialite
date: 2008-12-22 10:48:39
type: thought
vignette:
contextual_title1: Différencier Web Sémantique et Open Stack
contextual_url1: 20081214-differencier-web-semantique-et-open-stack
contextual_title2: Nombre d'occurences d'un mot dans un texte en Python
contextual_url2: 20081206-nombre-doccurences-dun-mot-dans-un-texte-en-python
contextual_title3: La documentation Django en local (html et pdf)
contextual_url3: 20081204-la-documentation-django-en-local-html-et-pdf
Pour répondre à David P. en commentaire, j’ai du mal à cautionner l’utilisation de l’ADN sur le terrain glissant de la gestion de l’identité mais il faut bien voir que c’est déjà possible en ligne !
Plus inquiétant dans le domaine (via sebsauvage), il semblerait qu’une base de données de l’ADN directement prélevé sur les nouveaux-nés voit le jour à des fins plus que douteuses (mais non enfin c’est pour la recherche). « Yes, we can! » qu’ils disaient… il serait peut-être temps de rebooter l’Amérique ? (si quelqu’un l’a lu, retours bienvenus).
[edit du soir] : si quelqu’un sachant lire le suédois pouvait me confirmer la traduction approximative de ce billet, notamment :
Le fait est que, depuis 1975, un échantillon de sang a été prélevé sur un total de nouveau-né en Suède, cet échantillon est utilisé pour la recherche sur Phénylcétonurie (PKU) et est stocké à utiliser dans la recherche future. Au total, environ 3,3 millions de Suédois ont des échantillons de sang dans ce registre.