The structures of our network commons have concentrated our responses to the forces already pressing against our livelihoods and children and futures. Within their engagement-optimized interfaces, we’ve built ourselves into a standing wave: Abusive posts became network-wide events that require a response not only from moderating authorities, but from every user.
In this machine, silence transmutes to approval of the worst thing happening; via entirely real human needs for signals of safety and support, continuous attention and engagement become mandatory. Simply bad posts are opportunities for demonstrations of prowess. People we agree with become footholds for demonstrating all the subtle ways in which they don’t quite understand.
[…]
==Here in my body, I want to be more human in service of a less painfully haunted world.== I want ways of being together that let us pay our respects and build different kinds of power. I want to practice being free.
*Erin Kissane* (cache)
J’étais ceux que je suis.
Je me retrouve de moins en moins sur des plateformes d’échanges instantanés — fussent-elles libres. Cela me confirme que mon problème n’est pas dans l’outil mais dans la qualité des interactions.
J’ai fait un atelier où j’ai dû dire à des personnes que j’estime à voix haute que j’étais profondément injuste et que j’étais OK avec ça. C’était difficile et je n’en mesure pas encore toutes les conséquences.
La résilience de mon vélo passe par ma capacité à le réparer. Avec des tubeless je me sens moins à l’aise, trop d’outillage devient nécessaire pour pallier un confort relatif.
Dans ces moments de repli, la photographie et la poésie (re)prennent une place importance. J’aimerais en accorder plus au dessin et à la musique mais le plaisir semble encore être trop éloigné.
Je me demande parfois si la publication sur le web n’est pas un de mes privilèges de plus.
Je deviens ce que je ne suis plus.