14 jours pour traverser l’océan dans une cabine avec vue sur l’océan ou 14 jours dans un hôtel d’aéroport après avoir été entassé 10 heures dans un avion.
[…]
Et que dire de la friction lente qui nous habiterait pendant ce temps de quarantaine active où nous mettrions à contributions nos pensées dans le mouvement d’une attente.
J’aime vraiment beaucoup cette suggestion de Karl au sujet du temps et de la dynamique. Un bon moyen de rééquilibrer l’avantage que procure l’avion vis-à-vis d’autres moyens de transport. Quitte à s’isoler, autant le faire pour de vrai.
Il suffirait d’une seule mutation sur la protéine Spike pour que l’humanité (des riches) s’alloue deux années de réflexion supplémentaires sur ces sujets… peu enviable, potentiellement nécessaire ?