Alas, many developers don’t build with this mindset. I mean, I understand why: ==it means thinking about users with the most boring, least powerful technology==. It’s simpler and more exciting to assume that everyone’s got a shared baseline of newer technology. But by doing that, you’re missing out on one of the web’s superpowers: that something served up at the same URL with the same underlying code can simultaneously serve people with older technology and also provide a whizz-bang experience to people with the latest and greatest technology.
Pensée du jour suite à un retour interne (merci !) relatif à mon non-recrutement. Comme un besoin de déconstruire le refus pour pouvoir me reconstruire…
Lorsqu’on est évalué pour un nouveau poste, on essaye de connaître la situation technique la plus complexe à laquelle on a été confrontée. Et cela a tendance à me rappeler d’une certaine manière le Principe d’Aurélien. Ce qui me semblerait intéressant serait d’évaluer les choix qui ont été réalisés pour ne pas arriver à ce niveau de complexité.
Comment est-ce que vous avez réussi à garder une équipe à taille humaine ? Quelles mesures avez-vous mis en place pour conserver un ensemble technologique cohérent, compréhensible et maintenable ? Quelles sont les plus faibles compétences requises pour modifier les données sur ce produit ? Qu’est-ce qui a été automatisé et délégué, pourquoi ? Seriez-vous à l’aise pour transmettre cette application, à qui ? Qu’est-ce qui vous empêche de dormir la nuit à son sujet ?
Il est certain qu’en créant une usine à gaz on acquiert tout un lot de compétences. Mais ce ne sont pas celles qui m’attirent (et je ne parle même pas d’humain). Il est des moments où relire ses archives fait du bien.
Je vous développe une application complexe parce que je n’ai pas l’expérience pour en écrire une moins sophistiquée.
Blaise Pascal fait du développement web, Les dépendenciales (2021)