Luckily as the year comes to a close, the music streaming platform Spotify provides its users with a tantalizing (and ready to share) glimpse of their listening habits. It’s fun! It’s shareable! And it’s a troubling reminder that being “fun” and “shareable” is one of the primary ways by which rampant surveillance becomes normalized.
Pratique que je dénonçais il y a déjà quatre ans. Nos voisins numériques sont extrêmement nombreux. Il y a les personnes qui sont directement sur le réseau, les personnes qui sont au niveau du service en lui-même, les personnes avec lesquelles ces données sont partagées à des fins de recherche, les personnes qui sont en charge des services de sauvegarde, les personnes à qui ces données sont vendues. Sans compter les personnes qui ont réussi à récupérer ces données depuis les machines des personnes du premier niveau.
Lorsque vous lancez une lecture sur Spotify/Youtube/Etc, il y a potentiellement des milliers de personnes qui savent dans quel état d’esprit est-ce que vous êtes à ce moment précis. Est-ce que vous êtes à l’aise avec ça ?