En ce moment, on tente de se rappeler collectivement de ce qui a fait Zam. À la fois pour essayer de comprendre ce qui a pu nous permettre de faire équipe, mais aussi pour être en capacité de raconter notre chemin. En décrivant ce qu’il y avait dans nos sacs respectifs, les passages difficilement franchissables, les coups de bol de météo, etc. Baliser un sentier afin que d’autres puissent y initier leur propre aventure. Et ouvrir une autre voie.