Stéphane m’indique qu’il préfère être complice plutôt qu’allié·e car ce n’est pas une guerre avec deux fronts bien définis. Je n’avais jamais songé à ce terme dans ce champ lexical là.
Je me demande s’il ne faudrait pas explorer d’autres angles, en se reconnaissant et s’affirmant comme étant complexe par exemple. C’est davantage auto-centré mais (espoir++) en acceptant sa propre complexité, on ne peut qu’accepter — et encourager — celle des autres. Et ensuite prendre conscience que deux êtres complexes vont avoir des difficultés à communiquer, à se comprendre, à s’entendre, à faire un bout de chemin ensemble. Alors à plusieurs !
De la complexité du vocabulaire… il reste un ironème à trouver.
2 kinds of people. (Maybe more.)