[en] This is just what I’m used to nowadays – not using a technology because it’s the best-in-class or makes my life easier, but because it meets some high-minded criteria about how I think software should be: privacy-respecting, open-source, controlled by the user, etc.
[…]
For the time being, though, ==I’m going to keep acting like technology is an enemy== I need to subdue rather than a purveyor of joys and delights.
Toujours ce tiraillement très bien exprimé par Nolan Lawson entre l’insouciance des choses qui marchent (mais on ne décide pas de la direction dans laquelle (cache) elles vont) et la friction répétée d’outils qui ne prennent pas suffisamment soin des personnes trop éloignées — à différents niveaux et parfois de manière légitime — de l’équipe qui développe.
Ces deux modèles encouragent des modèles de société différents et aucun des deux ne me convient. D’un côté des multi-milliardaires qui bousillent la planète, de l’autre des tech bro qui acquièrent un pouvoir soci·ét·al non négligeable (je caricature, #NotAllDevs, toussa). Ce n’est probablement pas le même ordre de grandeur mais ça me questionne pas mal quand même. Au milieu de tout ça, il y a probablement des archipels (cache) où il fait bon grandir, de manière un peu isolée pour se protéger, un peu entre-soi pour pouvoir se reposer. Ces endroits-refuges sont géniaux et j’ai de bons échanges sur Masto une fois mes interlocuteur·ices choisi·es, trié·es pour être acceptables. Mais peut-on rester insulaire indéfiniment ?
J’ai beaucoup de doutes vis-à-vis de tous ces choix en ce moment. Quels sont les modèles les moins toxiques que je puisse encourager par mon attention ? Et potentiellement mon argent ?!
Par ailleurs, je tombais aujourd’hui (via cette vidéo) sur cette citation :
L’histoire n’est pas quelque chose que l’on peut regarder en se disant « c’est inévitable », elle arrive parce que des gens ont pris des décisions […]
Marsha P. Johnson