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title: Folie

Un rythme intenable à être contraint de jouer sur un peu trop de terrains à la fois. Tout en gérant un décal©age horaire. Tout quitter et devenir coach effondrementaliste.


J’ai enfin pu lire Ailefroide sur les bons conseils de Laurent et c’est chouette. Les montagnes me manquent par ici…

En revanche, j’ai visionné Arctic et lorsqu’on est un peu familier de ces environnements froids il est difficile de rentrer dans l’histoire compte-tenu des incohérences. Dommage.


So where does this leave Public Sans? By default, the work of US government employees is in the public domain. Since the GSA can’t adhere to the terms of the OFL, it seems to me that Public Sans must likewise be in the public domain. And because Public Sans incorporates Libre Franklin, it has necessarily dragged Libre Franklin into the public domain as well.

*The curious case of Public Sans; Billionaire’s Typewriter update* (cache)

Du bon #CopyrightMadness comme on les aime.


Cet ordinateur avec lequel j’essaie de sympathiser - et qui en gros est mon patron - ne s’est pas présenté, je ne sais pas ce qu’il regarde dans mon téléphone, comment il me juge, comment il collecte mes données pour faire des statistiques de mes performances et quelles sont les répercussions de ces statistiques sur la quantité et la qualité du travail qu’il va me donner par la suite. Est-ce qu’il va me faire partir à l’autre bout de Paris pour faire une seule commande parce que je suis trop lent ?

*Livreur à vélo, l’exploitation à la cool* (cache)

Esclavagisme assisté par ordinateur.


Par l’intermédiaire du If Day, j’ai découvert les plans de Hitler pour l’Amérique du Nord : de considérer les Premières Nations comme étant Aryennes pour obtenir leur support.

Rétrospectivement je trouve cela assez fou.


Let’s instead invest in many small and independent not-for-profit organisations and task them with building the ethical alternatives. Let’s get them to compete with each other while doing so. Let’s take what we know works from Silicon Valley (small organisations working iteratively, competing, and failing fast) and remove what is toxic: venture capital, exponential growth, and exits.

Instead of startups, lets build stayups in Europe.

*Slavery 2.0 and how to avoid it: a practical guide for cyborgs* (cache)

Et on pourrait appeler cela des « entreprises ». #TraduisonsLes


When we simply say users want control it’s giving up on understanding people’s specific desires. Still it’s not exactly wrong: it’s reasonable to assume people will use control to achieve their desires. But if, as technologists, we can’t map functionality to desire, it’s a bit of a stretch to imagine everyone else will figure it out on the fly.

*“Users want control” is a shoulder shrug* (cache)

Il faudra que je revienne sur ces notions de contrôle d’un côté et de viscosité/friction (cache) de l’autre.

Entre les deux : celui ou celle qui développe.


À la fin, le constat que je fais de mes « histoires d’a » n’est pas très glorieux. Ce qui ressort de tout cela est bien ce « a ». Le préfixe « a- ». Celui qu’il faut bien distinguer d’un « anti ». C’est un préfixe qui retranche, qui ignore, qui méprise ou qui élude. Il n’est ni pour, ni contre. Que l’on soit pour ou contre quelque chose implique de considérer la chose en question. De lui accorder de l’importance, de la rendre intrinsèque. Qu’il s’agisse de l’embrasser et la soutenir ou de la combattre et la dénoncer. Ce « a- », lui qui m’est si précieux, permet d’éviter, de se défiler au lieu de soit subir, soit affronter. Il ne représente même pas un déni franc et vigoureux. Il n’est rien de plus qu’une misérable sourdine qu’on poserait sur un déni possible. Histoire de se mettre confortable dans les plus grandes largeurs possible. Tous ces « a- » en guise de protection. Contre les mauvaises choses. Mais contre les bonnes, également. Cela revient à se regarder dans un miroir tout en ignorant son propre reflet. Un dédain poli, par ignorance. Mon dédain quotidien. Ce truc sur lequel je me condamne à ne rien bâtir.

*Les histoires d’a* (cache)

C’est fou comme il écrit bien Pep.


Recomposed par Max Richter. Découvert il y a quatre ans et je ne m’en suis toujours pas remis. Music for 18 Musicians de Steve Reich est incroyable aussi.

À écouter jusqu’à la démence.