J’ai enfin pris le temps d’aller me geler deux heures un soir pour faire une vidéo de 20 secondes. C’est le principe de la… *timelapse* ! Et le pire, c’est que vous n’êtes jamais sûr·e d’y aller un soir où le ciel va être conciliant. Apprentissages de la patience et de la contemplation nous voilà :-). Normalement vous avez déjà vu le résultat car j’ai mis des sons d’oiseaux par-dessus qui avaient été précédemment captés.
J’ai choisi de faire une photo toute les 10 secondes et de laisser l’appareil en automatique, ce que je ne fais jamais mais je ne savais pas comment m’adapter au cours de la prise de vue sans faire des paliers et/ou tout faire bouger… 500 photos (et 10 Go) plus tard, j’ai décidé que ça suffisait et en fait c’était limite pour en faire une vidéo à part entière. Mais bon je suis toujours dans l’exercice et je me force à publier mes erreurs aussi… #thérapie
Je n’ai pas encore tenté d’animer la prise en combinant avec la gimbal mais je vois déjà que ça me prend une bonne partie d’une batterie aussi ça m’inquiète pour des situations où j’ai des contraintes fortes à ce niveau. Au passage, je me demande comment font celleux qui réalisent des timelapses d’aurores boréales, il doit falloir un générateur à côté de l’appareil 😅.
Un truc que je n’avais pas anticipé, c’est que je peux récupérer parmi toutes les prises de vues celles que j’ai envie de garder sous forme de photos. J’en ai gardé 3 pour l’occasion :
En revenant à la maison, de nuit :
— Je pensais que tu nous avais abandonnés. Parce que je fais trop de bruit.
Il va falloir encaisser ça et travailler cette insécurité, à la fois pour le fils… et le père !