C’est fou comme le fait de se donner un objectif (sportif) change la donne en terme de motivation. Pour cette année, ce sera la Traversée de Charlevoix. Je vais essayer de documenter le processus de préparation.
Au détour d’un vieux chalet :
D’autres temps, d’autres démons.
Le dossier spécial sur la voiture électrique se terminait ainsi :
Nous sommes loin des anticipations du début des années 1970 qui attribuaient au véhicule électrique 7 à 10 % du parc automobile à l’horizon 1990-1995. L’avenir même du véhicule, du moins en ce qui concerne l’étendue de son champ d’utilisation, demeure incertain. Celle-ci sera fonction des progrès qui seront réalisés sur les générateurs électrochimiques. Les filières potentiellement les plus performantes (filières chaudes, filières organiques, piles à combustibles) n’en sont encore qu’au stade de la recherche appliquée ou du développement et quelques-unes au stade de la recherche fondamentale. Mais des progrès sont enregistrés et les raisons profondes de poursuivre l’effort demeurent. ==Si une volonté politique s’affirme et parvient à motiver les premiers utilisateurs potentiels== (administrations et grands organismes publics), on peut espérer voir sortir les premières séries industrielles de véhicules au début de la prochaine décennie.
D’autres époques, mêmes utopies. Je vois de plus en plus de gros véhicules électriques, j’ai même croisé une JEEP l’autre fois. Tristesse du rêve américain.
J’aime bien l’expression « sans nom » (genre une galère sans nom, une injustice sans nom)
Ça fait un peu eldritchien pour moi, genre quelque chose de si terrible qu’on ne peut pas le nommer, qu’on ne peut pas concevoir entièrementMais aussi ça me donne l’impression que si je nomme les choses ça va régler une partie du problème c’est fun
« ma vie était une galère sans nom c’était terrible. Bha je l’ai appelé bob et du coup depuis ça va »