J’ai l’impression que “manger sans nourrir le système industriel, le plus local et le plus respectueux de la nature” serait une proposition plus en ligne avec mes valeurs.
Je suis curieux de savoir comment tu abordes cette question.
J’en arrive un peu au même raisonnement. Sauf qu’ici le local c’est assez compliqué pendant une bonne partie de l’année. Toujours cette notion d’ordre de grandeur qui m’embête.
Par exemple, est-ce qu’il vaut mieux :
Dans mon contexte, je n’arrive toujours pas à trancher. Les trois options présentent des péremptions, des transformations et des modalités de transport très différentes.
Et ce n’est qu’un exemple…