[en] The data reviewed by Times Opinion didn’t come from a telecom or giant tech company, nor did it come from a governmental surveillance operation. It originated from a location data company, one of dozens quietly collecting precise movements using software slipped onto mobile phone apps. You’ve probably never heard of most of the companies — and yet to anyone who has access to this data, your life is an open book. They can see the places you go every moment of the day, whom you meet with or spend the night with, where you pray, whether you visit a methadone clinic, a psychiatrist’s office or a massage parlor.
Et il n’y a pas que notre humeur qui est analysable, mais aussi l’endroit où nous sommes lorsque nous sommes dans cet état. Il n’a pas fallu attendre le « Temps d’écran » d’Apple pour réaliser la quantité de données historisées et localisées disponibles dans un téléphone et dans toute la chaîne de traitement et d’analyse de cette information.
Ce n’est pas tant d’être un livre ouvert que de l’être pour de très nombreuses personnes. Et je ne parle même pas de celles à un niveau supérieur qui se mettent à croiser toutes ces données.
Notre téléphone indispensable (traduction de smartphone locale que je trouve pertinente) est un confessionnal avec des milliers d’oreilles.