L’objectif est simple : on a une série de questions et en fonction des réponses on affiche des conseils personnalisés en fonction de la localisation, des caractéristiques, des antécédents et des symptômes ou contact à risque potentiels.
Sauf que tout bouge très vite, autant les questions que les conseils ou l’arbre logique qui permet de passer des unes aux autres. Sans compter qu’il a été écrit par des médecins dans une feuille de calcul et qu’il faut aller repêcher les informations à la main. Pas évident.
En parallèle, on publie le code source sous licence MIT et on est maintenant en capacité de faire une démo à l’équipe élargie. Les retours sont plutôt bons et ça tranquillise beaucoup de monde.