Le besoin d’aller explorer de nouveau territoires a peut-être trait à la découverte de la culture canadienne sous un autre angle que celui du hockey et du sirop d’érable. S’imprégner d’un terroir et d’un climat pour tenter de comprendre les racines d’une culture, une approche différente de l’immigration qui me correspondra peut-être davantage.
Je côtoie trop d’expatriés qui sont dans la reproduction française plus que dans l’intégration canadienne ce qui rend leur expérience forcément décevante. La frontière est mince lorsque l’on tente de conserver une identité double et intègre.