Depuis mardi, j’oscille entre des envies de coder et d’écrire. J’ai tellement oscillé que je n’ai fait ni l’un ni l’autre, ou presque, et failli entrer en résonance. Là encore, cela contribue à mettre le doigt sur une de mes principales faiblesses : accorder des priorités aux tâches qui m’importent. Sur le plan professionnel, je suis parvenu à canaliser tout ça, au point d’en être devenu redoutable et de me discipliner mécaniquement. Lorsqu’il s’agit de mes occupations et de mes projets personnels, c’est une tout autre histoire. C’est tellement stupide et paradoxal. Alors qu’il s’agit de ma part de temps la plus rare et précieuse, j’en gaspille une bonne portion à faire la girouette. Et lorsque j’en prends conscience, je tends naturellement à me flageller, activité ô combien constructive et gratifiante, vous en conviendrez.
Cela m’arrive tellement souvent que ça en est presque ridicule :-).
Le pire étant d’avoir envie de coder un outil de publication (ce qui semble être mon cas chaque début d’année) car cela crée une boucle infernale : besoin de contenus à publier mais besoin de l’outil pour visualiser mais besoin de contenus à publier. Auto-émulation d’un côté, réelle démotivation de l’autre.
Et rien n’avance…