Publications relatives au tag #allié


Les plus récentes en premier, les 3 premières sont dépliées et ensuite c’est à la demande, bonne exploration !

Complicité (2021-10-26)

Stéphane m’indique qu’il préfère être complice plutôt qu’allié·e car ce n’est pas une guerre avec deux fronts bien définis. Je n’avais jamais songé à ce terme dans ce champ lexical là.

Je me demande s’il ne faudrait pas explorer d’autres angles, en se reconnaissant et s’affirmant comme étant complexe par exemple. C’est davantage auto-centré mais (espoir++) en acceptant sa propre complexité, on ne peut qu’accepter — et encourager — celle des autres. Et ensuite prendre conscience que deux êtres complexes vont avoir des difficultés à communiquer, à se comprendre, à s’entendre, à faire un bout de chemin ensemble. Alors à plusieurs !

De la complexité du vocabulaire… il reste un ironème à trouver.


2 kinds of people. (Maybe more.)

Conférences 2 (2021-10-05)

— Tiens, tu ne fais plus de conférences.

C’est vrai. Et c’est intentionnel.

Quel que soit le format, j’ai fini par remarquer (il m’a fallu une dizaine d’années tout de même…) que ces évènements favorisent l’entre-soi et donnent une ascendance aux organisateur·ices et participant·es actif·ves. Ce statut est malsain car il permet des comportements déplacés de la part des personnes ayant davantage de pouvoir, d’autant plus lorsqu’une foule est réunie.

Rien de nouveau sous le soleil mais ça n’est pas une raison pour le cautionner avec ma propre participation qui vient renforcer un bon paquet de biais.


Tout cela étant dit, je suis toujours motivé pour accompagner des personnes qui seraient activement exclues (cache) de ces lieux si elles souhaitent participer, prendre confiance en elles et en connaître les codes. Pas en mode sauveur, peut-être en mode allié, certainement à distance.


Ce billet pourrait faire l’objet d’une conférence 🙃.

Support (2021-08-09)

Lorsque deux personnes ne se supportent pas — n’ont aucune envie de servir de support l’une à l’autre — doit-on tout de suite y voir un conflit de privilèges, de classes, de cultures ou d’égos ? Peut-être qu’il y a parfois « juste » un truc qui ne passe pas et il faut plutôt travailler à dégoupiller la pression sociale qui peut pousser ces deux personnes à se rencontrer. La violence me semble émaner de cette mise en proximité si elle est imposée (aussi numérique soit-elle), on réagit rarement de manière intelligente lorsqu’on est acculé·e.

Une mère canard sur un rocher, ses petits sur un autre. Une mère canard sur un rocher, ses petits sur un autre.
En sécurité ou à l’écart ?

Le point de rupture est ce moment où l’on renonce à un lien, on le défait ou le tranche. C’est le moment où l’on cesse de croire en quelqu’un, d’attendre quoi que ce soit de lui. Notre capacité à lui faire confiance s’est épuisée au fur et à mesure des déceptions, des mensonges, des violences ou des trahisons. Ou bien, elle s’effondre d’un coup, sous nos yeux incrédules, comme une falaise de craie. C’est le moment de la perte, cet étrange moment où l’on « perd » quelqu’un encore vivant.

Rupture(s), Claire Marin

Blame (2021-07-12)

Déplier pour lire le contenu de la publication

La mémoire ne recrée jamais la réalité. Elle la reconstitue. Et tout reconstitution modifie l’original en devenant elle-même un cadre de référence externe obligatoirement imparfait.

Manuel du Mentat, Dune V. Les Hérétiques de Dune, Frank Herbert

J’ai beau essayer de faire attention, il y a des fois où je me foire grave. Aujourd’hui, j’ai mis la pression sur une victime (qui n’avait rien demandée) au lieu d’accepter ma confrontation avec l’oppresseur (qui est mon problème en tant qu’aspirant allié). C’est frustrant car je ne pensais pas pouvoir encore faire ça, ma route est encore longue. J’espère pouvoir me rattraper mais c’était quand même très indélicat de ma part…

Je consigne cela ici pour ne pas l’oublier trop vite.

Merci Thomas.

L’oubli… tel est votre destin. Toutes les anciennes leçons de la vie, vous les perdez, vous les gagnez, puis vous les reperdez et vous les regagnez encore.

Leto II, La Voix de Dar-es-Balat, Dune V. Les Hérétiques de Dune, Frank Herbert

OK (2021-06-29)

Déplier pour lire le contenu de la publication

The people most vulnerable to the oppressive impact of White Supremacy will never know for certain if the symbol is being used in one of its non-violent manners or if it's being used in its racist violent manners. The oppressed must choose the option that protects them, which is typically erring on the side of caution.

Continuing to use the symbol with its non-hateful connotations to “take it back”, does not eliminate its pervasive new meaning associated with White Supremacy. Instead, continuing usage only perpetuates emotional and psychological harm upon the most vulnerable and susceptible populations.

👌 [ok-hand] (cache)

J’aurais aimé pouvoir me ré-approprier un tel emoji mais pas au détriment des personnes qui en souffrent. Je vais dorénavant l’éviter autant que possible 🧘.

Au passage, ce site comporte de nombreuses définitions qui sont autant de sources d’explorations de mes maladresses actuelles. Merci Anne-Sophie !

Bin-hômme (2021-06-28)

Déplier pour lire le contenu de la publication

As it turns out, the most high-performing teams have psychological safety in common, an atmosphere where people are more supportive than competitive. As a sensitive person, these micro-aggressions often sent me into fight-or-flight mode and dampened my enthusiasm. Suddenly I was having emotional breakdowns at work; now I understand why.

Why I chose to leave my successful UX career (cache)

Discussion avec la drum team au sujet de la montée en compétence/expérience de personnes beaucoup moins représentées sur des rôles de CTO/leadtech (en français, avoir des responsabilités autour de la technique, mais pas que). On se dit avec Ronan que l’on est en pouvoir d’introduire ces personnes dans des milieux qui leur sont systémiquement peu accessibles et en vouloir d’accompagner ces individus de manière bienveillante et bien-traitante, sans subordination.

Il reste à concrétiser et incarner ces intentions. Notamment en établissant ensemble les moyens de rendre explicites des comportements toxiques et/ou des maladresses induites par nos biais actuels.

Avec toi ?

(Si tu hésites pour plein de raisons possibles, commençons par en discuter par courriel pour clarifier nos intentions respectives.)

Trans (2021-06-16)

Déplier pour lire le contenu de la publication

Observant la manière dont elle attendait, patiente, que ses pensées se résolvent, il songeait à ce que l’on disait souvent, non sans raison, des Révérendes Mères : qu’elles ne faisaient plus tout à fait partie de la race humaine. Elles se tenaient en quelque sorte en dehors du courant principal. Elles le longeaient sans doute ; elles y faisaient sans doute de fréquentes plongées pour des motifs à elles. Mais elles se tenaient à l’écart de l’humanité. Elles s’en éloignaient.

Dune V. Les Hérétiques de Dune, Frank Herbert

Note : je ne sais pas trop de quoi je parle et j’espère ne blesser personne, n’hésitez pas à pointer mes maladresses.

J’ai beaucoup d’empathie pour les personnes qui ne se sentent pas à l’aise dans leur genre, notamment car j’ai du mal à m’associer à un groupe se revendiquant comme étant « les hommes » pour diverses raisons issues de mes expériences et des cultures que j’ai pu traverser. Néanmoins, je n’aspire pas à rejoindre un groupe qui se revendiquerait comme étant « les femmes » pour autant. Je crois que je me sentirais plus à l’aise hors de cette dichotomie — je laisse la sexualité à part intentionnellement. Hors de l’espèce humaine en fait.

(J’espère que ça ne fait pas trop je-ne-suis-pas-féministe-mais-humaniste… je suis plus en mode exploratoire que militant ici, probablement naïf.)

Je commence à chercher si le « transpecism » est quelque chose et je tombe sur un article de Vice (cache) qui me donne le mot-clé « otherkin » :

Otherkin are a subculture of people who identify as not entirely human.

J’apprécie qu’il y ait autant de façon de se définir, tant de façons d’être à respecter. Chercher à savoir qui l’on est, le cheminement de toute une vie.

C’était une petite incursion dans ma misanthropie du soir.

Coïncidence au moment de la publication :

Les députés canadiens ont adopté mardi 22 juin un projet de loi interdisant les « thérapies de conversion » qui visent à imposer l’hétérosexualité aux personnes LGBTQ+ (lesbiennes, gays, bi et trans), une victoire pour le gouvernement minoritaire de Justin Trudeau.

Au Canada, les députés adoptent un projet de loi interdisant les « thérapies de conversion » (cache)


Karl a répondu avec : l’homme et le macho (cache).

Homophobie (2021-05-23)

Déplier pour lire le contenu de la publication

[Frank] Herbert maintiendra des propos homophobes jusqu’à la fin de sa vie, en considérant que l’homosexualité est un comportement immature, adolescent. En 1985, lors de sa conférence à UCLA, interpellé par un étudiant gay qui lui reproche d’avoir caricaturé les homosexuels sous les traits du Baron Harkonnen, il répondra : « Les gays agissent pour ne pas faire perdurer l’espèce. » Puis il s’esclaffera d’un rire gras, ainsi que la salle, qui applaudira. Une autre époque. […] Bruce Herbert [son fils] mourra du sida à l’âge de 41 ans en juin 1993, après avoir été un militant acharné de la cause LGBT.

Frank Herbert : itinéraire d’un anti-héros, DUNE : le Mook, Alexandre Sargos

J’apprends cela en pleine (re)lecture de son œuvre et ça me met mal à l’aise. Aussi, je remarque encore davantage certains extraits à ce sujet. J’essaye de ne pas (trop) couper pour que chacun·e puisse se faire son idée :

— Et à la curieuse théorie de Leto.
— Oui. Il affirme que les armées exclusivement masculines étaient trop dangereuses pour leur support civil.
— C’est insensé ! Sans armée, il n’y aurait même pas de…
— Je connais votre argument. Mais il dit que l’armée masculine n’était rien d’autre qu’une survivance de la fonction tampon dévolue aux mâles non reproducteurs de la horde préhistorique. Il dit aussi que, dans cette optique, il est frappant de constater que c’était toujours les mâles plus âgés qui envoyaient les jeunes au combat.
— Qu’est-ce que cela signifie, la fonction tampon ?
— Il s’agit de ceux qui se trouvaient toujours dans la zone de danger, pour protéger le noyau de mâles reproducteurs, de femmes et d’enfants. Ceux qui affrontaient les prédateurs en premier.
— En quoi est-ce dangereux pour les… civils ?
— D’après le Seigneur Leto, lorsqu’elle ne trouvait plus d’ennemi extérieur, cette armée de mâles se retournait toujours et invariablement contre ses propres populations.
— Pour ravir les femelles aux autres ?
— C’est possible. Mais il ne croit visiblement pas que l’explication soit si simple.
— Je ne trouve pas cette théorie particulièrement curieuse.
— C’est parce que vous n’avez pas encore tout entendu.
— Il y a autre chose ?
— Oh, oui ! Il dit qu’une armée de mâles a toujours de très fortes tendances homosexuelles.
Idaho, par-dessus la table, le foudroya du regard.
— Je n’ai jamais…
— Bien sûr que non. Il veut parler de sublimation, d’énergie défléchie et de tout le reste.
— Quel reste ? protesta Idaho, dressé contre ce qu’il interprétait comme une attaque à son image virile.
— Les aptitudes de l’enfance, les jeux de garçons, les plaisanteries destinées uniquement à faire souffrir, la loyauté réservée aux compagnons de horde… des choses de ce genre.
— Et quelle est votre propre opinion ? demanda froidement Idaho.
— Je me souviens… […] de quelque chose qu’il m’a dit un jour et qui, j’en suis sûr, est exact. Il est chaque soldat de l’histoire humaine. Il me proposait d’incarner devant moi, pour l’exemple, une série de personnages militaires figés dans leur adolescence. J’ai décliné cette offre. J’ai lu attentivement les livres d’histoire, et j’avais déjà par moi-même identifié cette caractéristique. […] Vous devriez y penser capitaine.
Idaho se flattait d’être honnête envers lui-même, et ce que venait de dire Moneo le touchait. L’armée préservant les cultes de la jeunesse et de l’adolescence ? Il y avait quelque chose de vrai là-dedans. Et certains exemples, dans sa propre expérience…
Moneo poursuivi en hochant la tête :
— L’homosexuel, latent ou non, qui maintient sa condition pour des raisons que l’on pourrait qualifier de purement psychologiques, a tendance à se livrer à des comportements infligeant la douleur, aussi bien à autrui qu’à lui-même. D’après le seigneur Leto, cela remonte aux comportement probatoires de la horde préhistorique.
— Et vous le croyez ?
— Oui.

Dune IV. L’Empereur-Dieu de Dune, Frank Herbert

Il s’agit de personnages fictifs dans une œuvre de science-fiction. Et c’est probablement ce que je me suis dit lors des précédentes lectures, ça facilite la dissociation de l’auteur et de son œuvre, c’est l’option facile pour garder bonne conscience. Est-ce que je supporte aujourd’hui de lire cela ? Très difficilement, surtout sachant qu’il a mis à la porte son fils en raison de son homosexualité… j’aimerais pouvoir me dire que c’était une autre époque mais je n’y arrive pas.

Et c’est une bonne chose dans mon propre cheminement sur ce que je juge comme étant acceptable ou non. Je vais tout de même aller au bout de la série car j’aimerais savoir l’interprétation que j’ai aujourd’hui de « La maison des mères », avec un peu plus de recul.

Plus loin dans cet ouvrage on peut également lire :

Moneo parla alors d’une voix apaisante, mais ses paroles secouèrent Idaho.
— Je ne vous le dirai qu’une fois. Les homosexuels ont compté parmi les meilleurs guerriers de notre histoire, les troupes du dernier recours. Ils ont figuré parmi nos meilleurs prêtres et prêtresses. Le célibat des religieux n’a jamais été le fait du hasard, et ce n’est pas un hasard non plus si les adolescents font les meilleurs soldats.
— C’est de la perversion !
— D’accord avec vous. Cela fait des milliers de siècles que les commandements militaires tirent parti du déplacement perverti de la sexualité vers la souffrance.
— C’est ce que fait le Grand Dieu Leto ?
D’une voix toujours douce, Moneo répondit :
— La vraie violence exige que la souffrance soit infligée et reçue. Une armée conduite à cela par ses pulsions profondes est bien plus maniable.

Ibid.

Sponsor (2021-03-25)

Déplier pour lire le contenu de la publication

When members of overrepresented groups begin to see the systems of bias and privilege, their first instinct typically is to mentor those who haven’t benefited from the same privilege. This is understandable—they want to help them grow, get promoted, or become better engineers, to help balance out the inequity that pervades our industry.

But at its core, this instinct to mentor plays into the idea that minoritized people aren’t already skilled enough, smart enough, or ready for more responsibility or leadership.

What members of underrepresented groups in tech often need most is opportunity and visibility, not advice.

What does sponsorship look like? (cache)

Un article qui me fait progresser dans mon cheminement autour du mentorat et sur ce qu’il serait pertinent de rendre disponible. Merci aux personnes qui prennent le temps de documenter leurs connaissances et leurs raisonnements sur ces sujets. Ma route est encore longue…

It’s upsetting to realize that there are people who aren’t in that rank who are more qualified than you, but who haven’t benefited from the same privilege you did. I find that people who believed that they were promoted because the system is meritocratic react the hardest when they start to see the systems of privilege and unconscious bias are real (and that meritocracy is a myth).

Ibid.

Héros (2021-03-11)

Déplier pour lire le contenu de la publication

What can you do to help? Number one, for all time, pay attention to the people in the room who may feel vulnerable and step in if they are being faced with any questionable behaviour. Passive-aggressive comments can often escalate into worse situations, don’t let it get there. Make sure people know when their behaviour is unacceptable, and take care of the person who had to deal with it, especially when they might be more vulnerable alone later on.

Ask someone if they need company getting to where they need to go, and help them find a safe route, or someone who is suitable to help them, well ahead of the time they need to leave. Realise that offering to take someone back to their accommodation can be perceived as a potential threat, so prioritise finding a person who will make them feel safe over being the hero yourself.

Safety at conferences (cache)

Le véritable héros est celui qui sait laisser sa place.

Disponibilité (2021-02-26)

Déplier pour lire le contenu de la publication

Thinking about how I can be a helpful person in the world, as well as the sorts of folks who do and don’t think to ask for help, I wanted to take some time to explicitly write down ways that I’m available to help folks on the internet that I don’t have a preexisting relationship with. This is an initial list that I’ll have to think about expanding over time.

Ways I’m available to help. (cache)

Je découvre cette page via Jacob qui a également rédigé la sienne (cache). J’aime le fait que ce soit une proposition, une porte entrouverte sans grande garantie mais assortie d’une intention d’être utile à d’autres personnes moins privilégiées.

Je vais prendre le temps de rédiger la mienne. Peut-être l’occasion de proposer un peu plus que de la technique (cache). Dans un accompagnement, j’ai de plus en plus le sentiment que l’écoute (est une compétence mais) n’a pas besoin d’être assortie de compétences pour être utile.

Conférences (2021-01-26)

Déplier pour lire le contenu de la publication

Moitessier n’est pas un solitaire par principe, mais un maverick. Du nom d’un éleveur texan qui refusa au XIXe siècle de marquer au fer rouge son bétail, le maverick est un cheval sauvage qui choisit de vivre en marge de la harde : il reste à distance mais suit la marche du groupe, sans jamais s’en éloigner jusqu’à s’en exclure. Il met de la distance, mais ne se désolidarise pas du mouvement. Il refuse juste le comportement grégaire et l’autorité du mâle dominant. Contrairement au paria, rejeté de ses semblables, le maverick fait lui le choix délibéré de se mettre en retrait. Cette délibération en soi-même, qui inclut la notion d’intention, est au cœur de la distinction entre singularité et conformisme, entre libre arbitre et soumission.

Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce, Corinne Morel Darleux

Il y a peu, j’écrivais que je donnais des conférences avant de prendre conscience qu’il était important de laisser la place à d’autres moins privilégié·e·s/plus diversifié·e·s. Et indirectement, cela m’a permis de prendre du recul et eu aussi pour conséquence de ne plus me motiver du tout à aller dans les conférences « classiques ».

Et puis je lisais il y a quelques temps (je n’arrive plus à retrouver où et c’est bien dommage), qu’il était important pour les personnes qui se revendiquent être des alliées de rester présentes à ces évènements pour encourager et diffuser ces voix.

Et depuis, je suis dans le doute.

Je suis tiraillé entre co-créer de nouvelles choses ou faire acte de présence et de promotion des endroits qui comptent pour d’autres et leurs offrent un espace de visibilité non négligeable (j’envisage difficilement de faire les deux car mon temps est limité). Je pourrais aussi explorer des options plus proche du mentorat même si ce terme me laisse un arrière-goût de hiérarchie que j’aimerais éviter.

Le mieux serait probablement — comme souvent — de demander aux principa·ux·les concerné·e·s. N’hésitez pas à me donner votre avis.