Origines
Essayer de comprendre le passé pour envisager un meilleur avenir. Le défi de chaque être pensant. Pansant ? Passant.
Essayer de comprendre le passé pour envisager un meilleur avenir. Le défi de chaque être pensant. Pansant ? Passant.
Sur le web, on peut distinguer public et lier. Transmettre une URL publique sans pour autant la lier. Publier un flux sans qu’il soit définitif. Je joue beaucoup avec cela ces derniers temps.
Quelques jours en forêt. Pour soigner mon asocialité en étant seul. Pour bien en suer aussi. Pour jouer une partie d’échecs sans avoir droit à l’échec.
Une semaine en dent de scie avec pas mal de stress. Mais aussi d’appels d’air ! Tout en étant le sujet de mes propres contradictions. Ma vie, mon désenchantement.
Je n’avais plus mal au dos. Et puis j’ai maintenant une nécessité de prendre l’avion en 2020, probablement deux fois de suite. J’ai de nouveau mal au dos. Il y a peut-être un lien. Peut-être.
Un jour férié en France, c’est souvent une journée tranquille pour moi. L’occasion de creuser davantage de liens et de réflexions. Et de fermer des onglets après avoir partagé quelques connexions neuronales.
Envie de choses motivantes et enthousiasmantes. Il y a une notion importante en survie qui peut changer le déroulé d’une situation critique : l’espoir.
Une semaine de repos tout relatif. Un bon moment pour prendre du recul et construire des projets enthousiasmants. Je suis presque impatient de l’arrivée de la neige !
Une nuit en forêt avec pour challenge de ne pas faire de feu. S’adapter petit à petit au manque de luminosité, décider de dormir à la belle étoile même avec des températures négatives. Se sentir chanceux.
Une semaine très chaotique. Je me demande souvent si je devrais pas me faire plus discret lorsque mon attention se trouve être sollicitée de manière non soutenable. Ou au moins ne pas avoir d’opinions trop tranchées. Et en même temps, c’est ce qui me permet de vider un trop plein.
J’aime le rythme des saisons, je me demande ce que cela fait de vivre proche de l’équateur. L’impression que chaque jour se répète inlassablement. Dans quelle mesure la saisonnalité encourage la prise de recul ?
Être moins soucieux pour l’avenir en ayant des actions au présent. S’occuper, se résigner, suivre le flux présent en croyant à une certaine conscience collective. Fermer les yeux.
Je me rends compte que je raconte souvent mes balades en forêt mais rarement lorsque c’est en famille. Comme si ces sorties étaient plus intimes, ou moins portées sur la réflexion. L’expérience acquise seul me permet d’être en confiance une fois à plusieurs.
Vingt-quatre heures dans la forêt. Un marathon de marche afin d’épuiser le corps et l’esprit. Pour penser, dé-penser, repenser. Panser des blessures profondes, faire le vide, faire le plein. Habiter la forêt comme un lieu accueillant, un refuge aux bruits de ce monde.
Un brin de nostalgie cette semaine lorsque j’ai essayé de retrouver des informations sur mon site au sujet du Canada. Il faudra que je propose une recherche par ici, un jour.
Cette semaine, tentative de reconstruction de mon dos. Trois jours en forêt pour méditer, faire voler des hameçons au-dessus du raft, analyser le poids que j’ai sur les épaules.
Une semaine à notamment s’interroger sur ce qui fait coopérative. Et peut-être qu’il s’agit d’avoir une histoire commune à raconter. Partager non pas ce que l’on a fait ensemble mais ce que l’on a été ensemble. Réflexion à poursuivre… à documenter ?
Une semaine avec l’intention de faire des choses en famille. On a cueilli des bleuets et dormi dans la forêt. Essayé la Rabaska et le kayak de mer. Pêché pas mal d’algues et de boutons de moustiques.
Considérer la somme de ses actions et intentions comme un tout. Lâcher-prise sur celles des autres. Ou du moins essayer.
Essayer d’être à l’écoute de soi avant de pouvoir être à l’écoute des autres. Devenir le 1% de sa vie, prendre conscience des 99 autres. Savoir décliner lorsqu’on n’est pas en forme. Prendre soin de ma propre attente.
J’ai reçu deux courriels coup sur coup cette semaine qui m’ont rappelé pourquoi est-ce que je publiais ici. Ce n’est pas de l’exemplarité au sens de vouloir être exemplaire — ce qui serait à la fois prétentieux et anxiogène — mais de montrer que la voie que j’emprunte est un des multiples possibles. Libre à chacun et chacune de s’en inspirer. Et de documenter d’autres voies.
Réflexion sur les lignes de temps, de vie. J’ai un vieux truc pour mes présentations et je me pose pas mal de questions sur la généralisation d’une telle représentation, surtout après avoir vu ces timelines.
Citation de la quinzaine : « On me demande souvent à quoi je pense quand je marche. Et bien, je ne pense pas, je vis ! Il y a des moments pour la réflexion et d’autres pour le mouvement. », Sarah Marquis.
Citation de la semaine : “Not only is my glass half empty, it’s not what I ordered.” — Catherine Tate (Traduction libre : « non seulement mon verre est à moitié vide mais ce n’est même pas ce que j’avais commandé. »)
J’avais partagé des paroles de femmes sans commentaires l’année dernière. Ici je reste silencieux tout en changeant un peu la donne (l’ordre n’est pas significatif).
Une semaine sous le signe du déménagement. Quasiment seuls, ce qui permet de bien sentir le poids de chaque possession. De soupeser la pertinence d’une telle accumulation. Si seuls les riches peuvent se permettre de ne rien amasser, je dois être encore très pauvre.
Une semaine dans les cartons pour descendre de ce Plateau d’ivoire peuplé de montréalisiens. Et aussi pour prendre conscience qu’il n’y a pas que des trentenaires privilégiés à Montréal (autocritique++). Réduire la dissonance cognitive, avec urgence.
Citation de la semaine : “Almost everything will work again if you unplug it for a few minutes… including you.”
Un besoin de nature. Du temps pour se rassurer. Du temps pour se sentir à nouveau canadien. Du temps pour accepter les changements à venir.
Un rythme intenable à être contraint de jouer sur un peu trop de terrains à la fois. Tout en gérant un décal(c)age horaire. Tout quitter et devenir coach effondrementaliste.
Quelques questions après un séjour en France empreint de doutes sur l’avenir.
Une dernière avant de monter dans l’avion (cache) et d’être probablement moins en ligne pendant trois semaines. N’oubliez pas que vous pouvez écrire aussi (cache). Et lier. Et publier. Pour plus ou moins longtemps. Ou pas.
Une semaine rythmée par l’exploration de nouveaux lieux de vie. Quitter le plateau et ses montréalisiens pour lequel j’entretiens une relation d’amour-haine. Envisager diverses options, divers choix de vie. Se rappeler que c’est un luxe d’avoir ces choix.
Accepter d’avancer et assumer les dommages collatéraux. Accepter de déménager pour réduire. Accepter de vivre dans un monde de ronds alors qu’on se sent une famille de carrés. Accepter d’être dans le cliché du sportif blessé et chiant. Accepter de prendre soin de son corps lorsqu’on a les télomères qui raccourcissent.
Une semaine de remise en questions. À chialer (au sens québecois du terme) sur mes problèmes de visa alors que pour d’autres il s’agit de fuir la guerre. À côtoyer d’autres privilégiés qui n’en ont même pas conscience. À se demander à qui je tends la main. En vrai.
Une semaine qui a commencée avec un poignard dans le dos et une impossibilité de m’asseoir pendant quelques jours. L’occasion d’utiliser à bon escient ce bureau assis-debout. La douleur aidant, j’ai pas mal cogité la nuit et me suis fendu d’une refonte ici même.
Trois rappels cette semaine qu’il suffit d’une personne grain de sable pour que ça irrite tout le groupe. Lorsque ça gratte, le groupe se remet en question, se parle, converti le sable en verre nécessaire à la transparence mais également en miroir nécessaire à sa propre définition. Aussi, ça m’a fait consommer par mal de cuillères sociales (PDF, 161Ko).
J’ai rererelu Le grand méchant renard et c’est trop bien de pouvoir partager des lectures saines à plusieurs niveaux de compréhension. Il faudrait que je détaille ce que j’entends par sain dans ce contexte.
Cette semaine, j’ai regardé « Leave No Trace » et ça m’a bien chamboulé.
Cette semaine, j’ai fait un quinzhee et il s’est écroulé. C’était dans le cadre d’un atelier alors on n’a pas pris le temps que ça se solidifie. C’était (le) fun quand même.
Semaine de récupération après un gros rhume qui s’est soldée par la fin de mon projet de couture (super content et j’en ai déjà un autre !). Il faudra que je m’en vante de manière illustrée un de ces jours. Ou pas.
Cela m’intéresse d’avoir vos retours sur cette formule hebdomadaire. Notamment si une liste de diffusion vous faciliterait la vie.
Cette semaine grosse sortie de ski de fond qui s’apparentait davantage à du ski de rando vu les conditions <3. J’ai passé le cap où je peux réfléchir pendant l’effort dans cette pratique là et c’est chouette (coucou Kilian). Mais penser à quoi ?
Cette semaine a débutée par deux journée dans les bois avec des températures qui n’ont pas dépassées les -18°C. C’était « frète » comme on dit par ici. Heureusement, j’ai passé une nuit dans un refuge que j’ai fait passer de -9°C à 32°C (!) en 3 heures grâce au poêle, le contraste était assez saisissant. Cela m’a permis d’avancer sur mon projet de couture avec un sprint de… 5 heures non-stop, vive l’hiver ! Aussi, j’ai vu le premier arc-en-ciel circulairehalo de ma vie <3
Une semaine de reprise avec un gros projet de couture qui me prends beaucoup de temps. L’ambition est grande pour un débutant puisqu’il s’agit d’ajouter des poches à un sac, si ça pouvait au moins être fonctionnel ce serait déjà pas mal. C’était aussi le début de la saison de ski de fond sur le Mont-Royal !
Tentatives autour d’un format hebdomadaire.