Of course, most of these are not even “mobile-first” businesses - they are “mobile-only”. They often don’t even have web sites (or, apps for that matter): “the homepage once conferred some sense of reaching your canonical destination, it’s now your name on Facebook, Instagram, Twitter, Amazon etc. that consumers are searching for” (Jonathan Libov (cache)).
Il y a le côté attirant de construire des micro-applications en étant le plus pertinent possible et en se concentrant sur la valeur ajoutée uniquement.
Il y a le côté effrayant de se baser sur des services tiers qui peuvent changer de stratégie (tarification, confidentialité, conditions d’utilisation, etc) du jour au lendemain.
Peut-être que ces services ne sont que les registars et hébergeurs de demain ?