Lettre à Hubert

Hubert,

Merci pour ces 5548 articles qui nourrissent mes réflexions de manière asynchrone et dense. Tu es le seul journaliste que je suis avec assiduité. En fait c’est à la fois pire et mieux que ça : tu es ma définition d’un journalisme qui sait s’adapter à un contexte changeant. C’est lourd à porter, c’est quelque peu déprimant de te voir aussi esseulé mais c’est aussi enthousiasmant et inspirant de constater que c’est possible !

Alors se pose la question de l’essaimage. Comment faciliter un cadre apprenant qui permette à ces réflexions de produire des interactions transverses ? Comment répertorier les externalités positives qui suscitent l’envie de prendre part à un tel travail ? Comment diffuser sans dénaturer ?

Autant de questions qui dans un autre domaine sont irrésolues de mon côté.

David

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