Publications relatives au tag #gratitude


Les plus récentes en premier, les 3 premières sont dépliées et ensuite c’est à la demande, bonne exploration !

Record (2021-12-03)

Mais sous les hautes latitudes, si l’homme est écrasé par le sentiment de sa petitesse, il est porté aussi, protégé, par celui de sa grandeur. C’est là, dans l’immensité désert de l’océan Austral, que je sens pleinement à quel point l’homme est à la fois un atome et un dieu.

Et quand je monte sur le pont à l’aube, il m’arrive de hurler ma joie de vivre en regardant le ciel blanchir sur les longues traînées d’écume de cette mer colossale de force et de beauté, qui parfois cherche à tuer. Je vis, de tout mon être. Ce qui s’appelle vivre. Et peut-être faut-il aller plus loin encore en regardant la mer.

La longue route, Bernard Moitessier

J’ai passé plusieurs heures à regarder en direct le match le plus long de l’histoire des championnats du monde d’échecs. Magnus Carlsen contre Ian Nepomniachtchi, sixième confrontation dans un match qui en compte 14. C’est une petite révolution car ils venaient de faire 5 parties nulles (ce qui n’est pas inintéressant du tout vu la pertinence des échanges mais un peu frustrant tout de même).

Après presque 8 heures de réflexion intense et plus de 130 coups, il a suffit d’une simple erreur qui était très difficile à voir venir pour que le match bascule alors que tous les commentateur·ices s’accordaient pour un nouvelle partie nulle (mais longue !).

J’avais déjà été content d’assister en direct il y a quelques semaines à son sacrifice de dame contre Anish Giri mais alors là c’était vraiment épique (une vidéo de récapitulatif).

Je ne sais pas trop comment est-ce qu’ils vont réussir à enchaîner après ça, c’était beau à voir. Merci les artistes.

Sens (2021-11-29)

In software, participatory sense-making means developing a shared mental model of what the software is, what it’s going to be, and how it works. We need to understand what we’re building deeply, with a clear language to talk about it. It needs to make sense to each of us, and to all of us. We construct this model together: that means there’s more of us to work at making it real in the world. It also means the model is richer, fits with more of the real world, and more rigorous. This comes from our many perspectives participating.

Software development pushes us to get better as people (cache)

Cet article m’a rappelé que je deviens une meilleure personne grâce aux personnes avec lesquelles j’évolue ces dernières années. Prendre soin ensemble c’est aller bien au-delà de son propre confort. C’est ce cheminement là qui permet d’apporter de la valeur à ce qui est produit… et à ce qui est vécu.

Jour 1 (2021-11-21)

Je commence à comprendre que c’est moi qu’il faudrait aussi protéger de cette caméra.

Au début, je croyais qu’il suffisait d’appuyer sur le déclencheur après avoir réglé l’objectif. Ce n’est pas du tout ça. Il faut y mettre quelque chose d’autre, dans cette caméra. Elle essaye maintenant de me bouffer les tripes.

La longue route, Bernard Moitessier

Cette sortie a été plusieurs fois décalée, aussi j’essaye d’assurer le coup en me tenant éloigné des chasseurs. Je retourne dans un refuge que je connais bien en passant par de nouveaux chemins. Et je laisse la caméra à la maison.

Dès les premiers mètres, je sais déjà que je n’ai pas les chaussures appropriées : ça glisse et c’est très humide, j’ai des chaussures basses, plutôt lisses et pas super étanche. J’ai déjà été dans cette situation, il faut croire qu’il est difficile d’apprendre de ses erreurs. Je persévère et je suis récompensé, passés les premiers kilomètres plus populaires je me retrouve dans une trace fraîche qui est beaucoup plus praticable.

Ce n’est pas la première fois que je remarque que l’hiver ce sont les infrastructures et les activités humaines qui rendent la forêt plus dangereuse (glissades, décrochages, infrastructures, machines, etc).

Le lac corbeau, gelé. Le lac corbeau, gelé.
Je suis surpris que les lacs soient déjà gelés, ça va encore être galère de trouver de l’eau liquide…

Je fais un long périple en acceptant le côté glissant de mon pas, me revoilà sur Arrakice avec sa démarche bien particulière pour ne pas attirer l’hiver… (rires). À force de trop glisser en descente, j’ai la malléole qui tape un tronc et ça pique pas mal, sans compter les adducteurs qui commencent à souffrir. Je ne suis pas mécontent d’arriver au refuge après une quinzaine de kilomètres.

Le lac corbeau, vu de haut. Le lac corbeau, vu de haut.
C’est bien la peine d’avoir pris une bonne suée !

Je n’ai croisé personne mais j’ai eu beaucoup de notifications qui sont venues étirer mes pensées. Je me mets en mode avion et je monte à bord du Joshua. J’ai l’impression de partager une partie de cette (longue) route avec la neige qui fouette les vitres telle des embruns et des préoccupations autour de la récupération de l’eau potable.

Pourtant, c’est une carte bien lourde à porter, ce besoin de rassurer la famille et les amis, de leur donner des nouvelles, des images, de la vie, de leur transmettre ce quelque chose d’infiniment précieux, cette petite plante invisible qui s’appelle l’espoir. La raison me crie de jouer seul, seul, sans m’encombrer des autres. […]

Mais une autre voix insiste depuis plusieurs jours : « Tu es seul, pourtant tu n’es pas seul, les autres ont besoin de toi et tu as besoin d’eux. Sans eux, tu n’arriverais nulle part et rien ne serait vrai. »

Ibid.


J’ai beaucoup de gratitude pour Isabelle Attard qui cite cet ouvrage dans son livre et qui m’a motivé pour l’emprunter à la bibliothèque ainsi que pour Thomas qui m’a indirectement incité à amener de la lecture en forêt.

Il y a des poids qui allègent.

Inaccessible (2021-11-01)

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  1. Je souhaite insister ici sur le fait que vivre dans une société inaccessible contribue très largement à ce sentiment. Bien plus que la maladie, c’est l’inaccessibilité qui réduit le champ des possibles pour les malades chroniques et personnes handicapées. Une vie que l’on peut juger diminuée ou rétrécie n’a pas moins de valeur que les autres.

Rechute chronique (cache)

Parfois, une note suffit pour écouter le monde différemment.

Cobayes (2021-10-30)

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Une pensée pour les personnes qui ont fait partie des essais cliniques pour vérifier que les vaccins — qui ont à ce jour été injectés 7 milliards de fois — avaient une balance bénéfice/risque très positive.

On n’en parle pas, on ne fait pas d’articles, on ne les applaudit même pas, et pourtant. Ces personnes sont celles qui ont pris de gros risques pour que le reste de la population en prenne moins. Soyons honnêtes, probablement pas par choix, et cela n’enlève rien au rôle qu’elles ont pu jouer dans cette histoire.

Elles ne peuvent pas en parler, elles ne peuvent même pas évoquer leurs séquelles potentielles, elles font partie des héroïnes oubliées de cette pandémie.

Merci.

Si l’histoire est un sanglant « abattoir », le sang qui le recouvre n’est pas seulement celui des victimes innocentes de la civilisation, mais aussi celui des hommes et des femmes qui nous ont laissé un héritage de liberté. L’héritage de liberté et l’héritage de domination se sont souvent tragiquement entremêlés. Pour pouvoir se sauver des effets homogénéisants de la société de marché, il est nécessaire que le souvenir pâlissant qu’a l’humanité des luttes héroïques pour atteindre la liberté soit sauvé de la pollution de cette société — une pollution qui a déjà dépassé de nombreuses bornes dans nos cultures contemporaines.

L’écologie sociale, Murray Bookchin

Complicité (2021-10-26)

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Stéphane m’indique qu’il préfère être complice plutôt qu’allié·e car ce n’est pas une guerre avec deux fronts bien définis. Je n’avais jamais songé à ce terme dans ce champ lexical là.

Je me demande s’il ne faudrait pas explorer d’autres angles, en se reconnaissant et s’affirmant comme étant complexe par exemple. C’est davantage auto-centré mais (espoir++) en acceptant sa propre complexité, on ne peut qu’accepter — et encourager — celle des autres. Et ensuite prendre conscience que deux êtres complexes vont avoir des difficultés à communiquer, à se comprendre, à s’entendre, à faire un bout de chemin ensemble. Alors à plusieurs !

De la complexité du vocabulaire… il reste un ironème à trouver.


2 kinds of people. (Maybe more.)

Transformatrice (2021-10-25)

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je suis insatisfait par le système de justice tel que je le connais parce qu’il ne prend pas bien en compte les victimes, ne répond pas vraiment à leurs besoins, ou alors par accident

Une autre justice - description du problème (cache)

David nous parle de ses explorations autour de la justice, réparatrice puis transformatrice à travers des interprétations de situations malheureusement bien réelles. Le travail d’essayer de décortiquer les attentes des victimes et le soin qu’il y aurait à leur apporter est fascinant. Ou déprimant. Bon en tout cas ça me fait bien cogiter.

Merci.

Injustice (2021-09-10)

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Si vous dénoncez une injustice, je vous invite à réfléchir : que voudriez-vous voir arriver ? À quoi la responsabilisation pourrait ressembler ? Si vous pensez que la personne devrait mourir, socialement ou littéralement, nous devons commencer la conversation à cet endroit-là. Sinon, nous avons besoin d’une vision de ce que pourraient être la guérison et la responsabilisation.

Si vous pensez qu’ils doivent mourir… (cache)

Il y a David qui parle de justice réparatrice/transformatrice depuis un moment, il faut que je me penche sur ce concept car j’y vois une source de compréhension et d’acceptation. En lisant la page wikipedia française, j’apprends qu’il pourrait y avoir un lien local avec l’origine de ce concept et sa potentielle mise en application.

De quoi me motiver encore davantage.

Frank (2021-09-07)

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Zut.

Ta franchise m’aura fait pleurer de rire. Cette critique, sans filtre, si juste, avait le don de me faire relativiser et de prendre du recul en écoutant ce Frank sensé, qui savait jouer avec les maux de notre temps. Merci de faire partie de cell·eux qui m’ont fait envisager des changements radicaux dans ma vie.

Tu te serais bien foutu de ma gueule d’écrire tout ça ici.

Et ça m’aurait plu.

Il est toujours étonnant de voir que l’on s’obstine à croire, l’on se complait dans l’idée qu’une vie peut être écrite et se dérouler selon des plans, des projections, alors que la seule chose certaine — le surgissement inévitable d’un imprévu, d’un accident, d’une brèche dans la continuité d’une existence — est ce que nous refusons de penser. Nous nous interdisons de penser la menace, le risque inhérent à nos vies. Chacun se considère, comme par magie, à l’abri. Comme si cela faisait partie d’un contrat tacite.

Rupture(s), Claire Marin

Manquer (2021-06-14)

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« Bonjour,
Il ne faut pas pleurer parce que ça ne ramène pas les gens ni les mamans partis.
Je crois que moi non plus je ne reviendrai pas tant que je suis petit. Soyez pas tristes. Quand je serai grand, j’irai à l’école avec vous.
Ici tout le monde parle italien comme Maman sauf Zio Serafino qui connaît une poésie en français. La Nonna est très gentille.
Je me suis fait une cabane pour regarder la ville et on voit aussi la mer. On mange délicieux, j’adore surtout les pâtes et les aubergines.
Je rentre dès que je serai grand.
Leo »

J’ai rien dit à propos de mon papa à cause des mots qui sont difficiles à faire comprendre.

Quelqu’un a qui manquer, Yohan Boniface

Yohan est un ami. Jusqu’à présent, j’avais surtout relu son code. Hier, j’avais le cœur tout humide à lire son histoire. Je me suis retrouvé en Sardaigne, dans cette cabane, dans cette famille, dans ces doutes et cette tristesse partagée. J’ai eu envie de serrer fort ce petit Leo dans mes bras.

Vous pouvez retrouver son livre dans plusieurs librairies et il est sous licence CC BY-NC-SA.

Co-écriture (2021-06-10)

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Tout seul on va plus vite, ensemble on va ailleurs.

Proverbe africain, métissé à Scopyleft

L’écriture à plusieurs est une chose qui m’est difficile. Pas douloureuse mais difficile. Le style me parait rapidement être incohérent entre les parties et les bons mots sont lissés par un consensus mou et fonctionnel. Si quelqu’un fait un premier jet, c’est souvent trop franc pour pouvoir être retravaillé en profondeur et si, au contraire, on est nombreux·reuses à vouloir démarrer ça patine à chaque phrase.

Ce que l’on a expérimenté avec Thomas et Juliette c’est un·e qui écrit et les autres qui racontent (il faut une configuration particulière, ici un retour d’expérience). Le rédacteur ou la rédactrice est libre de l’angle et oriente la discussion pour creuser certains aspects et picorer dans l’histoire qui émerge. On se focalise ensuite sur le résultat pour réajuster lorsqu’il y a eu des incompréhensions. C’est peut-être une piste pour me réconcilier avec une écriture collective.

Merci.

D’une certaine manière, on a mis un mois pour rédiger 9 pages à… 70 mains 😅. Toute ressemblance ne serait bien évidemment que fortuite. On a aussi appris à se connaître en faisant, explorant cet ailleurs que sont les autres.

Là-bas était l’essentiel.

Carbone & Silicium (2021-05-20)

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Il arrive que des œuvres obligent à inventer un mot qui pourra les décrire. Et en restituer cette empreinte organique qu’elles laissent dans nos fibres, comme le rouge d’un sang pris dans une trame de chanvre.
Ce mot, ce serait la solstalgie. La nostalgie d’une solitude qui ne serait pas totale, d’un lien entre humains qui ne serait pas coupé, d’un tissage collectif qui pourrait être autre chose qu’un cluster d’atomes interconnectés sur le réseau. Un sentiment situé quelque part entre la solastalgie pré-traumatique d’un monde familier qu’on ne reconnaît plus et la nostalgie d’un retour au pays natal qui n’a jamais existé.

Bienvenue dans une œuvre solstalgique, donc ! Si solaire et si mélancolique. Où l’on souffre secrètement de la beauté d’une espèce qui se bousille et d’une planète qu’on détruit. Mais qu’on répare aussi, sans cesse. D’abord avec l’âme d’une plume et d’un crayon.
“Comment va le monde, d’ailleurs ?”, demande à la volée Carbone.
“Il se reconstruit. Doucement.”, dit Silicium, de retour de rien.

Postface d’Alain Damasio, Carbone & Silicium

Il est rare qu’une bande dessinée me mette une claque, la dernière fois c’était il y a deux ans, quasiment jour pour jour. Et j’en lis pas mal !

Il s’agit d’un long format permettant de s’inscrire dans une temporalité, rythmée par des lieux et leurs couleurs. J’aimerais ne pas en dire trop tellement ça m’a pris par surprise. Je ne sais plus qui (me) l’a conseillé, probablement sur Masto, mais j’ai beaucoup de gratitude pour la personne qui m’a aidé à faire cette découverte.

Le sentiment de contentement et un peu de déni, c’est ça la vie, rien de plus.

Carbone & Silicium, Mathieu Bablet

Mourir (2021-04-26)

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It’s not a frequent topic of discussion, but doctors die, too. And they don’t die like the rest of us. What’s unusual about them is not how much treatment they get compared to most Americans, but how little. For all the time they spend fending off the deaths of others, they tend to be fairly serene when faced with death themselves. They know exactly what is going to happen, they know the choices, and they generally have access to any sort of medical care they could want. But they go gently.

How Doctors Die (cache)

Je vais essayer de me souvenir de cet article. Ce sont des décisions relativement faciles à prendre pour soi. Beaucoup moins lorsqu’il s’agit des personnes aimées.

J’espère pouvoir finir dans une forêt.

Alcool (2021-04-12)

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The winners in this equilibrium are people who, for one reason or another, can manage this situation well. They aren’t genetically predisposed to alcohol addiction; they are socially confident so don’t feel the need for Dutch courage or the need to show off by drinking too much; or, perhaps, they are successful or content in the different spheres of their life, so they don’t have pain that they want to numb. Some successful people are vulnerable too in a different way, being wined and dined if you’re an executive, or trying to climb a corporate ladder by getting drinks with whoever after work.

It seems wrong that a privileged (!) class of people who can manage alcohol effectively in their lives do not try harder to make sure that the under-privileged, vulnerable members of society don’t end up addicted to this awful drug.

Against alcohol (cache)

Voilà un angle intéressant. Cette dernière année m’aura montré que je n’ai pas de dépendance à l’alcool et que je ne bois que dans des relations sociales extra-familiales. De ce constat il n’y a qu’un pas avant de s’arrêter définitivement. Quitte à devoir se passer d’interactions sociales, autant renoncer aux béquilles devenues inutiles.

Ma motivation initiale était plus égoïste (?) que celle de l’auteur de l’article : j’aime boire du vin — principalement français — et mine de rien ça fait traverser l’océan à de lourdes et volumineuses bouteilles.

Entre l’écriture et la publication, je tombe sur ce fil Twitter (cache) dur à lire, à la fois pour l’identification passée et l’éventuel futur. Peut-être qu’en montrant un autre exemple je soigne autre chose…

Autrement (2021-04-10)

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J’ai envie de pouvoir faire, penser, écrire des choses inutiles, qui ne servent absolument à rien. Des choses gratuites, dont les conséquences ne sont pas importantes ou, de toute manière, ne constituent pas une cause finale. J’ai envie de faire aussi des choses nuisibles, qui nuisent à l’impératif de productivité, qui cassent cet espèce de flux insensé. J’ai envie de perdre du temps, de développer un outil informatique qui ne sert à rien, qui ne fonctionne pas, qui ne fait pas gagner du temps, qui n’est même pas beau - car la beauté aussi est assujettie à l’utilité.

Ce qui pourrait être autrement : éloge de l’inutilité (cache)

À rapprocher de ce qui pourrait être fun. Je vous invite à lire toute la série de Marcello intitulée « Ce qui pourrait être autrement ».

Recommandations (2021-01-30)

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Quelques livres pour les enfants qui commencent à lire.

Bandes-dessinées #

Hybrides #

Romans #

Pour d’autres recommandations (malheureusement sur Facebook Instagram…) : Sous nos lunettes.

Gratitude (2021-01-23)

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thanks for your nice idea after 10 years !

En commentaire d’un gist

Je suis toujours surpris que l’on puisse utiliser quelques bouts de code que je partage ici et là. Pour rappel, j’essaye de réunir des petits cailloux regroupés par langage : CSS, JS, Python et bien sûr HTML en faisant un view-source: ici :-).

Quand on plante un graine on ne sait jamais où et quand est-ce qu’elle va germer.

À titre personnel, je n’oublierais jamais la réponse de Guido à mon courriel :

Well thank you! So much fan mail is asking for a favor, I’m really grateful that you just express your thanks. Enjoy programming in Python, and tell your friends!