Lettre à Simone

Simone,

Ou Peggy, je ne sais plus. Merci pour ces voyages philosophiques et notamment ces thérapies. C’est un angle auquel je suis sensible pour avoir l’impression d’évoluer à mon échelle. Prendre soin en ayant davantage conscience de ce qui blesse au quotidien.

Ce qu’il me manque en tant qu’expatrié c’est de pouvoir participer aux après-midi et échanger avec d’autres sur ces thématiques. En espérant que cela t’encourage à continuer, et pourquoi pas… à essaimer.

David

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