Olivier G. le 27/02/2008 :

Bravo pour cette traduction !

Concernant la killer app que tu prépare, tu veux pas qu'on en parle sur la liste websemantique.org ?

Kilian le 27/02/2008 :

Merci pour cette traduction.

NiCoS le 27/02/2008 :

Intéressant et comme tu le dis, surtout pour un projet "fait maison" / sur capitaux propres. Pour un investisseur, faudra peut être revoir la présentation / formulation des choses mais ça peut peut être passé...

David, biologeek le 27/02/2008 :

@Olivier G. : je préfère arriver à un prototype avant.

yza le 28/02/2008 :

Oui hum, pour dogmazic c'est de ma faute...si je puis dire...

Bravo pour cette article, merci pour la traduction.
Fichue pub, elle envahit tout... difficile de garder le débat centré sur les 8 génératrices.

David, biologeek le 29/02/2008 :

@yza : il n'y a pas de remords à avoir, je ne suis pas forcément d'accord avec tout ce qui y est dit mais c'est intéressant d'avoir différents points de vue.

Merci de défendre mes couleurs ;-).

netslider57 le 02/03/2008 :

Très bon article, merci de l'avoir si bien traduit.

Laurent - CyberSDF le 11/03/2008 :

A lire en complément : le dossier de l'AFUL : Modèles économiques liés aux logiciels libres publié à www.aful.org/professionne...

Guillaume le 11/03/2008 :

Un peu en retard comme d'hab moi.. Oui David, ça rassure un peu ouais, merci :)

J'aurais d'ailleurs surement l'occasion de parler de ce sujet si mon ERP libre hébergé marche..

lilious le 28/03/2008 :

Excellent article !!! Merci pour la traduction ! J'ai reproduit l'article ici:
toc-arts.org/blog/2008/03...

Concernant la publicité, je pense qu'elle va être remplace peu a peu par la diffusion prescriptive, c'est a dire que chacun d'entre nous deviendra un diffuseur qui pourra décider de faire passer une information (OU PAS) selon ses affinités.

Dans l'économie de l'attention (dans une économie ou la copie est illimitée, avoir la confiance et l'attention des gens a une valeur plus importante que les copies diffusées), des milliers de micros diffuseurs auront plus de poids qu'une campagne marketing de masse.

a bientot

niko le 10/04/2008 :

Maginifique analyse ^^

Seul petite erreur, au niveau de l'industrie pharmaceutique, ça ne coute rien de produire une pilule, mais en amont, à l'heure actuelle ce sont des milliards d'euros qui sont dépensé pour trouver de nouvelles thérapies afin d'en finir avec l'actuelle manque en terme de molécule. Et ça, c'est un énorme trou dans les comptes de ces entreprises, qui doivent donc compenser en vendant toujours cher des produits amortis. Voir en créant de fausse nouveauté qui n'ont guère plus d'effet.
M'enfin, c'est un point de détail.

Alain Pierrot le 27/04/2008 :

Kevin Kelly poursuit sa réflexion dans une série de billets sur les modèles économiques dans une série de billets et recueille des témoignages concrets d'essais. Son billet du 21 avril 2008, où il cite le bilan de Robert Rich, précis et détaillé, mérite lecture.
http://www.kk.org/thetechnium/archives/2008/04/the_reality_of.php

Gary Gaignon le 13/05/2010 :

Votre analyse par ailleurs brillante sur le fond laisse à désirer énormément en ce qui a trait à la problématique des oeuvres d'art dont la musique et la littérature numériques. Ces deux dernières n'ont de valeur commerciale que par leur exemplarité unique. Sauf que reproductible à l'infini, copiable telle quelle gratuitement, rien ne va plus pour leurs créateurs qui se voient alors confinés au mécénat comme seule solution envisageable pour continuer. Nous en revenons donc à la Renaissance à l'époque des Médicis. L'État pourrait-il donc prendre la relève sans retomber dans le réalisme soviétique? Non, car les artistes émergents sont irrécupérables par nature. Il leur faudrait donc tous être des aristocrates rentiers pour financer leur entière liberté créatrice inconditionnelle. Le marché du livre de papier avait résolu ce problème pour un certain nombre d'entre eux aptes à répondre aux attentes stéréotypées du grand public. Ce qui ne peut rien résoudre en définitive pour l'art véritable. Retour donc à la case départ dès lors qu'il demeure impossible de concevoir et de réaliser de manière viable, à très long terme, un marché numérique de la production artistique sous toutes ses formes.

Nicolas Chevallier le 10/06/2010 :

L'article date un peu mais il est pourtant toujours d'actualité. J'ai déniché plein de bonnes idées de business grâce aux exemples, merci pour les (bons) tuyaux!

Luc le 01/07/2010 :

Excellente mise en perspective du renouvellement de la notion de "valeur" à l'heure du web 2.0.

La valeur repose sur la notion de désir, elle même corrélée par l'évaluation de l'intérêt. C'est le niveau de désir qui va influencer le montant de la valeur et donc notre envie de posseder/d'acquérir.

On considère aujourd'hui la valeur comme l'expression du désir qu'un agent économique éprouve pour un bien ou un service. C'est alors une appréciation subjective non mesurable, liée aux préférences de la personne, compte tenu de sa situation actuelle. Cette conception est celle de la grande majorité des économistes contemporains, et c'est ce que traduit fort bien votre article. Félicitation !