Avec le vélo, j’ai appris à prendre soin d’un outil de propulsion mécanique, froid, qui casse parfois sans prévenir. Réalisant cela, j’ai entrepris de l’adapter, de le comprendre en le démontant et en passant des soirées à essayer de changer des câbles internes ou une cassette. Cette procédure d’adaptation s’est progressivement muée en adoption me permettant de comprendre les contraintes sur chaque pièce.
Aujourd’hui le vélo est plein d’imperfections mais j’en connais chacune des origines qui forment notre histoire commune.