« La question ne concerne pas que Maxime : on a des modes de vie qui s’écartent un peu, certains veulent lever le pied au niveau du travail, d’autres ont des projets d’habitation avec des conjoints extérieurs au groupe... Le groupe doit s’adapter aux évolutions personnelles pour que tout le monde se sente bien, analyse Clémence. En même temps, nous devons trouver les solutions pratiques pour que ça ne devienne pas une usine à gaz et que ça ne désorganise pas le groupe. » Le plus important pour y parvenir ? « Garder notre état d’esprit », répond-elle sans hésiter.
Répartir équitablement le travail, mais aussi les revenus : l’utopie d’une ferme devenue réalité (cache)
C’est la question que je me suis posé en lisant l’article : comment concilier les ambitions initiales et les évolutions de chacun des membres du groupe en lien avec l’extérieur.
Je serais curieux de suivre leurs adaptations sur le sujet.