#adaptation

Publications relatives à cette étiquette

Alimentation

Je réfléchis beaucoup au nombre de Calories dont j’ai besoin sur une journée d’activités intensives. J’ai l’impression d’être autour de 3000-3500 — selon la température notamment. Il m’est difficile d’arriver à une telle quantité en restant en-dessous du kilo par jour et sans perdre l’appétit au cours du temps.

J’en suis à me dire que pour de la rando-course, il faut que j’expérimente une approche nutritive hybride aussi avec un petit déjeuner, un repas complet le soir et entre les deux des « collations » variées / équilibrées / hypercaloriques tous les 4-5 km par exemple. C’est très approximatif et à tester en conditions réelles bien sûr avant de ré-adapter.

Je suis en train d’itérer sur ma propre recette de bannique, tiraillé entre l’appropriation culturelle et la reconnaissance qu’il y a eu des siècles d’itérations avant moi… l’avantage d’une base relativement neutre étant de pouvoir la décliner en de multiples saveurs car le lembas c’est un peu lassant au bout de quelques jours !

On va voir si j’arrive à perdre du poids — dans le sac seulement — avec cette stratégie. J’ai déjà l’impression d’être à bord du Nebuchadnezzar lorsque je mange mon gruau le matin, je ne suis pas encore prêt à me retrouver dans Soleil Vert.


Too often, I notice that the instinct to give feedback works to cut off that kind of exploration. We assume that the person who is the object of our feedback has something to learn and fail to notice the same thing about ourselves. We presume that if something uncomfortable or unexpected happens, it represents an opportunity (or even an obligation) to give feedback—rather than an opportunity to get curious, to inquire into what’s going on.

We’ve funneled so much energy into feedback processes that I fear we’ve neglected more foundational skills: the ability to ask questions, to listen deeply, to see the things before us that we’re wont to ignore.

What you see | everything changes [archive]

🤐


Partout on dégaine l’adjectif « systémique » sauf là, où il serait pourtant bien utile. C’est pas un problème de personnes, c’est pas que les masculinités alternatives sont un modèle qui ne s’est pas encore assez diffusé, c’est parce que l’appartenance à une classe qui a des privilèges sur une autre produit quelque chose chez les dominants, une certaine répugnance à ne pas en profiter. Difficile dans ces conditions de se mettre au service du féminisme entendu comme l’émancipation des femmes et non comme une aventure de développement personnel […]

Les hommes doux sont-ils l’avenir du féminisme ? [archive]

Ça pique là où il faut que ça pique.


Even if you decide not to post the comment or delete it after it is posted, the files are not deleted from GitHub’s CDN, and the download URLs continue to work forever.

As the file’s URL contains the name of the repository the comment was created in, and as almost every software company uses GitHub, this flaw can allow threat actors to develop extraordinarily crafty and trustworthy lures.

GitHub comments abused to push malware via Microsoft repo URLs [archive]

Une astuce pour un hébergement d’images aux frais de Microsoft est en train d’être documentée. À juste titre, je n’avais pas conscience que l’URL était liée au dépôt ce qui ouvre pas mal de possibilités niveau sécurité.

Casquettes

L’impression de porter beaucoup de casquettes dans la même journée en ce moment. Genre ces dernières années en fait. Je ne sais pas encore si ça mène à l’épuisement ou si c’est ce qui me permet de ne pas m’ennuyer.

Je vais bientôt pouvoir ajouter « nocoder » à mon CV. Petite joie technique (?) de la journée, on a réussi à connecter une feuille AiTable à la banque. On place une date dans une cellule et ça programme un virement de l’autre côté. C’était marrant de le faire en binôme.


When you’re designing a piece of software, the single most important thing to design for is understandability. Security, performance, and correctness are all important, but they come after understandability.

The most important goal in designing software is understandability [archive]


Open Source is rewarding- but it can also be exhausting.

The linking project’s code is provided as-is, and is not actively maintained.

No Maintenance Intended [archive]

Dune

Je crois bien n’être allé que 3 fois dans une salle de cinéma ces 10 dernières années. Et puis l’occasion s’est présentée, sans prévenir, aujourd’hui. J’avais quelques retenues sur la première partie mais j’attendais quand même avec impatience la suite. Et j’avais réussi à ne pas trop regarder les bandes annonces, ni les critiques.

Note : ça va forcément divulgâcher un peu dans la suite.

L’adaptation est bonne, le défi était de taille et — en dépit des quelques ajustements qui piquent un peu le fan que je suis (surtout vers la fin !) — la scénarisation est cohérente. Ce qui n’était pas une mince affaire car encore une fois la temporalité n’est pas évidente et rendre l’évolution des personnages visible avec tout ce qui est censé se passer dans leur tête requiert des redéfinitions et des raccourcis.

Mon erreur a probablement été de choisir de l’IMAX alors que c’était Hans “booj” Zimmer aux platines. Autant dire que le siège a vibré la moitié du film ! Au-delà de la bande originale, le son a vraiment été travaillé mais je crois que c’était un peu trop pour mes vieilles oreilles plus vraiment adaptées à de tels volumes. Il y a des moments où j’ai même trouvé que ça altérait la compréhension des dialogues… j’avais un peu l’impression de me noyer dans la volonté im·mer·sive alors que l’on est en plein désert. Je doute de retourner dans une salle de si tôt.

Tout ce qui tourne autour des vers est bien fait, j’avais toujours eu du mal à me faire ma propre représentation des tailles et interactions à la lecture et là ça me semble être respecté / réaliste. Idem pour les Sietchs, c’est fidèle à la projection mentale que je pouvais m’en faire, même si l’on n’en voit pas grand chose au final. J’ai particulièrement apprécié le choix de faire une Chani forte qui est davantage consciente des enjeux et des répercutions. La jalousie aurait mérité d’être plus subtile, la différence entre la femme (politique) de Paul et sa compagne (amoureuse) est vraiment explicite dans le livre.

Paul Muad’dib perd un peu trop d’eau à mon goût au cours de nombreuses scènes. Il était probablement plus difficile de transmettre des émotions sèches (?).

Pour finir sur une note positive, l’image bien sûr. C’est à la limite du trop et c’est magnifique au niveau des différents tableaux qui s’enchaînent avec leurs propres couleurs, cinématiques et points de vues. On sent le travail de recherche sans qu’il ne devienne complètement distrayant. J’y serai d’autant plus attentif lors d’un second visionnage, chez moi, en choisissant le volume sonore.

Je ne vois pas comment est-ce qu’il ne pourrait pas y avoir une troisième partie. À voir comment / si ça raccroche les wagons des livres. J’aurais presque envie que ça explore sa propre branche. Dune multi·vers·e !

Jour 2

On se réveille dans la brume avec le soleil peinant à passer à travers, le lac et la neige ont regelé pendant la nuit. C’est une belle ambiance après une nuit agitée par la chaleur du sauna refuge. Les poêles tirent à fond dans ces endroits pour éviter que des personnes n’arrivent pas à faire démarrer un feu (j’imagine que ça peut être critique) mais ça les rend très inefficaces dans la durée et très chauds dès qu’on met deux buches dedans.

Lac corbeau à l’aube.
De bien jolies couleurs au réveil.

Cet épisode me confirme encore une fois que les enfants ont des corps de sportifs de très haut niveau. Je suis impatient de pouvoir le charger un peu plus car c’est frustrant de le voir gambader devant de bon matin alors que mes muscles sont à peine réveillés. J’aime bien lorsqu’on va explorer un peu plus loin et que l’on se projette sur ce que l’on pourrait faire l’année suivante.

Un enfant qui court dans la neige vers un refuge.
Jamais fatigué.

Le retour est moins joyeux car il s’agit d’enchainer les efforts et chaque heure qui passe rend la neige plus meuble. À tel point que l’on décide de couper par une piste sur une courte section. Mon évaluation est que la saison de ski est terminée, même une sous-couche bien travaillée ne tiendra pas la semaine qui s’en vient.

J’aurais aimé faire une boucle un peu plus longue au retour mais il faut savoir s’adapter aux conditions. Le plus important est de terminer sans blessure ni dégoût.

Je commence à imaginer un parcours rapide sur plusieurs jours dans cette forêt que je connais bien. Peut-être qu’une fenêtre se dessine en avril… il faut que je récupère un peu de cardio d’ici là.

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