Mais pourquoi donc une telle recherche perpétuelle de perfectionnement ? Vouloir s’améliorer, lutter contre ses préjugés, essayer de taire ses mauvaises passions, vouloir toujours offrir le meilleur, certes, certes, oui, c’est chouette mais cela ne me paraît pas un chemin un de vie heureuse pour autant. Peut-être que le bonheur ne se construit pas dans les idéaux mais également plus simplement dans une attention à l’autre et dans les marches de l’acceptation de ce que nous sommes, avec une constante bienveillance.
Je reçois pas mal de mails relatifs à ces publications sportives qui me qualifient de « blog vélo » ♥
Je ne conçois pas le sport comme un perfectionnement mais comme un équilibre et une recherche quasi méditative. C’est difficile à décrire cette capacité à pouvoir réfléchir en mouvement. S’il y a perfectionnement, c’est peut-être celui de trouver un meilleur contexte pour penser.
Le lendemain, @burninghat me propose la lecture de Apprendre à apprendre (2/4) : l’importance du corps (cache).