#apprentissage
Publications relatives à cette étiquette
Écriture
And, I’ll assume we all agree that owning your own website is a good thing, and we all want more people to do it.
But here’s the thing: we need more tools for it. We need simpler tools for it. And we need to make installing and using them trivially simple.
We need more self-hosted platforms for personal publishing that aren’t Wordpress. And don’t point me to Hugo or Netlify or Eleventy or all those things - all of them are great, but none of them are simple enough. We need web publishing tools that do not require users to open the Terminal at all. And we need lots of them.
We need a whole galaxy of options.
Quelques étoiles dans la galaxie :
- Scribouilli (code) par L’Échappée Belle ;
- Write.as (open-source) est le plus proche que je pourrais conseiller avec un support commercial de Musing Studio ;
- mastohost — que j’utilise — permet d’avoir son propre domaine aussi sans vraiment de connaissance technique, le support est réactif ;
- Carrd est revenu plusieurs fois dans ma bulle ces derniers temps ;
- Pika aussi avec une saveur plus humaine.
Il y a une bonne liste dans cette discussion et une autre par ici (section Managed Static site hosts or Blogging platforms
).
Among its suggestions: write a longer headline; split a six-sentence paragraph up because it’s “too long”; and replace “too complex” words like “invariably,” “notoriety,” and “modification.” Dozens of sentences were flagged as being confusing (I disagree) — and it really hated em dashes. I rewrote my prose over and over, but it didn’t seem to satisfy my robot grader. I finally chose one thought per sentence, broke up paragraphs, and replaced words with suggested keywords to get rid of the red dots signaling problems.
The result feels like an AI summary of my story — at any moment, a paragraph could start with “In conclusion…” or “The next thing to consider is…” The nuance, voice, and unexpected twists and turns have been snuffed out. I’m sure some people would prefer this uncomplicated, beat-by-beat version of the story, but it’s gone from being a story written by a real person to a clinical, stiff series of sentences.
Un article de TheVerge qui risque de ne pas être très bien référencé. Le moment où l’on s’adapte pour nourrir les robots n’est pas nouveau, on a « juste » mis une nouvelle étiquette dessus en 2023 qui permet aux robots / algorithmes de se battre entre eux de manière explicite.
Pas sûr de vouloir entrer sur le ring sans m’épuiser très vite.
I propose Data Luddism as a radical response to the productive power of big data and predictive algorithms. My starting point is not the Romantic neo-Luddism of Kirkpatrick Sale but the historical Luddism of 1811-1816, and the Luddites' own rhetoric regarding their resistance to 'obnoxious machines'.
The everything
package and its 3,000+ sub-packages have caused a Denial of Service (DOS) for anyone who installs it. We’re talking about storage space running out and system resource exhaustion.
But that’s not all. The creator took their prank to the next level by setting up http://everything.npm.lol, showcasing the chaos they unleashed. They even included a meme from Skyrim, adding some humor (or mockery, depending on your perspective) to the situation.
When “Everything” Becomes Too Much: The npm Package Chaos of 2024 [archive]
npm install lol
🤣
En parlant de lol…
Si les fictions, celles qu’on s’invente, celles que nous souffle notre inconscient comme celles qu’on lit, ont un rôle majeur à jouer dans la fabrique de notre rapport au monde, alors voilà qui plaide pour redoubler d’ardeur quand il s’agit de nourrir soigneusement nos imaginaires. Quand on voit les déferlements de violence et le virilisme qui caractérisent les héros modernes, on ne peut que s’interroger sur le type de rapport au monde que cela crée. C’est la raison pour laquelle la bataille culturelle passe aussi par la création de nouvelles utopies, ni niaises ni naïves, qui puissent donner d’autres matières à rêver qu’un monde dévasté et peuplé de soldats augmentés.
[…] Nous avons besoin d’autres cadres de pensée dans lesquels évoluer. Nous avons besoin d’ailleurs culturels pour sortir de l’ornière et nous dérouter.
Alors nous irons trouver la beauté ailleurs, Corinne Morel Darleux
Nous accueillons une nouvelle personne chez Scopyleft, l’occasion de former une nouvelle équipe. Ces ailleurs culturels doivent pouvoir être partagés et inspirer pour réussir à essaimer.
C’est l’une de mes frustrations à ne plus participer à des regroupements, ne pas partager par ce biais là les expériences menées depuis 11 ans en matière d’horizontalité et de travail en commun·s.
So when we wonder where all the websites have gone, know it’s the curators we’re nostalgic for because the curators showed us the best the web had to offer once upon a time. And the curators— the tenders, aggregators, collectors, and connectors— can bring us back to something better. Because it’s still out there, we just have to find it.
Here’s the best part. You can be that curator right now, at this very moment. You can start to rebuild the interconnectivity that made the web fun to explore. And you don’t need to be a computer scientist to do it.
Dixième jour que j’ai l’impression de faire des billets trop longs. Beaucoup d’éparpillement suite à un cumul d’onglets ouverts, parfois depuis bien longtemps. Ça vous laisse un petit exercice de curation
vous aussi :).
Dons
Plus que 3 jours pour décider de l’usage de vos #impôts en donnant à des #assos !
Vu le succès de l’opération l’an dernier, je relance le doublement des dons en cette fin d’année 2023, avec un plafond plus élevé ! 🤑💞
Donnez à une des assos ci-dessous, publiez votre reçu en réponse, je double votre don. […]
Admirable. C’est la deuxième année que nous arrivons à faire des dons avec Scopyleft et ça me met en joie. Cela m’a même motivé pour en faire à titre personnel.
Une forme d’impôt volontaire qui ne termine pas / plus à la SAQ.
Pensée (genrée) du jour : un bon développeur fait bien la cuisine, un très bon développeur fait la vaisselle après avoir fait la cuisine.
Il y a une métaphore au niveau du soin, du partage et de la maintenance à peine déguisée.
Masto comme un espace de discussion, le blog comme un espace de synthèse : il me faut un sélecteur de thème clair / foncé car c’est utile à plusieurs personnes. C’est faible comme test utilisateur·ice mais c’est déjà ça. Et puis j’ai découvert plein de pratiques !
Je décline le sélecteur de thème que l’on avait fait en 2020 avec Anthony mais cette fois sous la forme d’un Web Component. Je me suis pris les pieds dans le tapis car les layers en CSS ajoutent un niveau d’indentation dans la logique (et changent la spécificité mais c’est le but !).
Je ne sais pas encore quel style lui donner. J’en profite pour mettre en place le changement subtil de police pour le thème foncé (plus light, ironiquement). J’ai l’espoir que ce type d’adaptation aide les astigmates… à arriver jusqu’au sélecteur de thème 😅.
Bientôt 500 lignes de CSS.
Une fois la transcription terminée, je peux enregistrer le fichier texte du podcast avec la fonction export en mode paragraphe. (non corrigé, brut).
Je suis impressionné.
plaisir d’ébauche [archive], Karl
Ce titre :)
La transcription des podcast serait très importante pour moi car je n’arrive pas à en écouter un plus de 2 minutes sans être à la peine (imaginez-moi au téléphone… ou en visio sans vidéo). J’avais fait des essais il y a 3 ans déjà qui n’étaient pas concluant mais peut-être que l’IA s’en sort mieux aujourd’hui. En tout cas, ça semble être le cas sur cet essai. Il faut que je prenne le temps de transformer ces murmures en mots, j’ai l’impression de passer à côté de beaucoup de choses inspirantes.
We evaluate APIs only on the basis of merit in the context of providing superior search engine results. Considering company x founder political views is not a factor in this evaluation. Politics finding its way into tech is one of the reason we do not have innovation any more.
We are primarily in the business of search and we’d like to stay focused on that.
Vlad (admin Kagi) répondant [archive] à « Reconsider your partnership with Brave »
À un moment l’année dernière, j’ai essayé Kagi et j’ai failli franchir le pas du payant. Je suis bien content de ne pas l’avoir fait car je m’en serais mordu les doigts aujourd’hui. Dans l’idéal, un moteur de recherche serait objectif mais un algorithme comporte toujours les biais de ses créateur·ices. Et vu la population qui code aujourd’hui, autant dire que c’est mal barré. Le fait qu’un administrateur de Kagi puisse être aussi naïf sur le sujet est assez terrible.
Pas de politique au travail [archive] est ma nouvelle cryptonite.
Vocabulaire
Les tensions et processer les tensions. Essayez de remplacer les termes « problèmes » et « solutions » par « tensions » et « processer ». Les êtres humains semblent être enclins de manière innée à attendre la dernière minute pour gérer ce qu’ils perçoivent comme des problèmes. Par conséquent, l’emploi de ce langage « négatif » dans le monde de l’entreprise peut donner naissance à une culture de l’évitement ou de l’inquiétude inutile. Le terme « tension », comme employé en Holacracy, est neutre et signifie simplement la perception d’un écart entre la réalité et ce qu’elle pourrait être.
Une tension n’est pas un « problème » et n’induit pas nécessairement une « solution ». Elle met en lumière une occasion de rapprocher la situation actuelle de ce qu’elle pourrait être — ce qui sous-entend généralement une amélioration. Holacracy emploie le terme « processer » pour décrire ce phénomène, qui évite la notion de résultat fixe et définitif et illustre un cheminement fait d’une adaptation et de progrès permanents.
Des propositions plutôt que des problèmes. Le changement qui va de pair avec celui que je viens de décrire est de prendre l’habitude de faire des « propositions » au lieu de se contenter de se lamenter. Lorsque vous ressentez une tension, demandez-vous : « Qu’est-ce qui pourrait améliorer la situation ? Que pourrais-je proposer ? » Encouragez votre équipe à en faire de même. La proposition ne se doit pas d’être une « solution » parfaite — c’est un moyen d’entamer la conversation de manière proactive et créative, et non négative.
La révolution Holacracy, Brian J. Robertson, chapitre « Changez votre langage, changez votre culture »
On pourrait y voir de la novlangue de manager mais il y a cette idée derrière qu’on ne tente pas de résoudre un problème mais de libérer — peut-être temporairement — une tension qui me plait bien. Ce que l’on aborde alors ensemble ce sont les actions qui nous semblent aller vers un mieux parmi l’arbre des possibles. L’enjeu d’un collectif qui se respecte est de trouver la légitimité individuelle nécessaire pour continuer à explorer des pistes ne faisant pas forcément l’unanimité lors d’une première itération. Holacratie semble mettre des règles explicites sur ces pratiques.
J’apprécie particulièrement le couple proposition / objections. Difficile de sortir d’une forme de confort une fois celui-ci établi. Peut-être que le refus de confort pourrait être une notion au même titre que le refus de parvenir ? Accepter le risque de l’inconnu pour ne pas se perdre dans un hier déjà expérimenté, déjà dé·fini.
Des objections ? La prochaine fois que vous recherchez l’adhésion de votre équipe à une décision, modifiez votre mode de communication. Ne demandez pas : « Est-ce que tout le monde est d’accord ? » ou « Ma proposition plaît-elle à tout le monde ? ». Ces questions débouchent sur une discussion longue et pénible. Demandez-leur plutôt : « Y a-t-il des objections à l’adoption de cette proposition ? » Et définissez une objection comme « une raison pour laquelle l’adoption de cette proposition causerait du tort ou nous ferait régresser ? »
Voici une autre formulation : « Est-ce que quelqu’un considère la mise en œuvre de cette proposition comme pas assez sûre, sachant que nous pourrons revoir cette décision si elle ne porte pas ses fruits ? » Ce simple changement de langage peut vous faire gagner beaucoup de temps et alléger considérablement le processus décisionnel.
Ibid.
Nicolas L. et Nicolas H. me font des retours sur le nouveau design en passant par Mastodon. Les choix respectifs de chacun·e de rendre les réponses publiques ou non enlèvent une partie des échanges mais c’est vraiment chouette d’entamer un processus d’amélioration (de libération de tensions ?) en commun à ce sujet.
J’essaye de rendre l’épaisseur du soulignement des liens dynamique, lié à la fluidité de la taille du texte 🧑🔬, peut-être que je devrais rendre la taille des bordures dynamiques aussi ? Parfois la contrainte technique peut devenir une contrainte éditoriale acceptable. Cet espace est suffisamment sur-pensé comme ça.
Je commence un thème sombre qui réagit à celui du système d’exploitation par défaut. Surtout pour un besoin personnel pour l’instant, mes yeux en ont besoin. Cela me pousse à ajouter des variables CSS pour les couleurs.
Plus tard, Emmanuel m’enlève une épine du pied sur une formule de grille que je ne comprenais pas totalement. J’apprends des choses au passage. Le copier-coller ? Oui, mais il faudra toujours finir par le décortiquer.
La CSS progresse, 426 lignes ce soir… et un seul breakpoint
défini pour forcer une variable maximale sur les grands écrans. J’aime bien cette idée.
Randonnée de 8 km en famille aujourd’hui, parfois je ne me rends plus trop compte des distances — qui plus est sur un sol difficile. Je voulais surtout savoir jusqu’à quels refuges je pouvais envisager des aventures avec l’enfant dans des conditions hivernales. Chaque année, de nouveaux horizons s’ouvrent.
— Comment appelle-t-on un groupe de faisans ? demande Anna.
— Un bouquet, répond Isobel. Un groupe d’étourneaux ?
— Un murmure.
— De flamants ?
— Une flamboyance de flamants. De hiboux ?
Isobel hésite. Sans lever les yeux de son livre, Emily répond à sa place :
— On dit un parlement de hiboux.
— Très bien. Plus difficile alors. Comment appelle-t-on un groupe d’alouettes ?
— Une exaltation.
— Et de papillons ?
— Un kaléidoscope de papillons.Alors nous irons trouver la beauté ailleurs, Corinne Morel Darleux citant Dominique Fortier sur Emily Dickinson, Les Villes de papiers
💚 Quand l’ornithologie fait de la poésie.