Abstraction
Take a moment and think about this super power: if you write vanilla HTML, CSS, and JS, all you have to do is put that code in a web browser and it runs. Edit a file, refresh the page, you’ve got a feedback cycle. As soon as you introduce tooling, as soon as you introduce an abstraction not native to the browser, you may have to invent the universe for a feedback cycle. No longer writing CSS and instead writing Sass? Now you need a development server with a build process to watch your files and compile your changes just to develop and test your project. You’ve just added a giant, blocking dependency for your project to work. And if you can’t get that dependency working, your project is dead in the water until you can—both now and in the future.
J’ai déjà beaucoup trop parlé du sujet et en même temps cela a été et pourrait encore être mon quotidien si je n’avais pas choisi une certaine forme d’ascétisme technologique (n’ayons pas peur des mots, ataraxie numérique (cache) si on veut être vraiment pédant). Évaluer chaque outil pour son usage actuel et futur, sa maintenance, sa migration, ses drama (coucou Hotwire), son abandon pour la dernière mode. J’apprends hier qu’un produit est à l’arrêt pour X mois car il faut passer d’un framework JS à un autre. Tristesse d’un domaine où une telle pratique est courante. Bien éloignée d’un Web frugal (cache), il y a un excellent résumé avec plein de liens ici (cache) si le sujet vous intéresse.
Je suis admiratif des personnes faisant de petits outils conviviaux (cache) qui permettent d’apprendre et de jouer avec la conception de l’outil en lui-même. Si je devais refaire de l’enseignement technique, j’emprunterais probablement cette voie. À l’opposé de la camionnette à outils qu’il faut savoir dorénavant maîtriser, en opposition à la direction qu’un marché nous pousse à emprunter.
Est-ce que l’on peut considérer l’accumulation de dette technique comme étant un bullshit job ?
16. How does this technology empower me? At whose expense?