Olympique
Aujourd’hui pour être un athlète de haut niveau, il semble qu’il ne soit plus suffisant d’être bon, il faut aussi être populaire.
Que certains sportifs soient des influenceurs en capacité de monnayer leur image est une chose. Mais que pour une grande majorité d’entre eux on subordonne leur capacité de vivre (souvent assez mal) de leur sport à leur capacité d’être des influenceurs, est tout à fait désolant, a fortiori dans le cadre encore un peu particulier qui est celui de l’olympisme moderne.
J’ai retenu trois choses de ces jeux olympiques :
- Lorsqu’on prend en compte certains facteurs économiques, sociaux et politiques (cache) pour ordonner le classique tableau des médailles, on obtient un classement où la France se retrouve bonne dernière (vive l’EPS !).
- Les pays riches achètent des athlètes (cache) pour remonter dans le classement classique des médailles, quitte à devoir leur faire changer de noms en cours de route.
- Il y a des enjeux diplomatiques plus ou moins bien cachés (cache) à tous les niveaux autour des délégations et de leurs dénominations.