Ma femme de ma vie ne m’aime plus.
Depuis bientôt un an, Grosse Fatigue nous parle de sa douleur. J’étais déjà impressionné par la qualité de sa prose qui a été sublimée par son malheur. J’en arrive à être presque déçu qu’il s’en sorte après plus de 150 billets extimes… terribles comme peut l’être le quotidien d’une séparation, justes sans tomber dans l’auto-apitoiement. Et je me sens coupable de ce plaisir un peu pervers en espérant hypocritement que ma lecture soit une source de soulagement. Courage camarade !