A mon sens, il faut travailler à construire une « assemblée des communs ouverte et démocratique » comme le préconise Michel Bauwens, au sein de laquelle le développement, le suivi et la protection des communs se fera. Cette assemblée rassemblerait les porteurs de « communs » pour qu’ils protègent et fassent grandir ensemble leurs initiatives ouvertes et partagées. Tels les lieux de travail, de production, ateliers, logements, terrains agricoles, ateliers, cinémas, jardins, épiceries, logiciels, plateformes web, encyclopédies, données, monnaies locales, fournisseur d’accès internet, etc… Le partenariat entre acteurs publics et privés céderait alors la place à un partenariat tripartite dans lequel des assemblées des communs sectorielles et géographiques joueraient un rôle de plus en plus important, au fur et à mesure du développement de leur capacité à gérer démocratiquement les communs.
La renaissance des « communs » invite à réinventer la politique (cache)
Quelle est la place des coopératives dans ces partenariats tripartites ? J’ai le sentiment d’avoir co-créé un cadre de travail commun avec scopyleft mais comment pourrait-on aller plus loin ?