Mais cet unanimisme émotionnel, quasiment institutionnel pour ceux qui écoutent les radio de service public et lisent les grands media, j’ai l’impression qu’on a déjà essayé de me foutre dedans à deux reprises. La société française est complètement anomique, mais on continue à se raconter des histoires.
"Je ne suis pas Charlie. Et croyez-moi, je suis aussi triste que vous." (cache)
La seule analyse depuis 2 jours qui me semble intéressante. Et elle ne vient pas d’un journaliste.