La perspective du début d’une vie humaine dont je suis responsable, conjuguée à la perspective de la fin d’un monde. Paye ta synchronicité.
A quoi va ressembler le monde dans lequel je vais faire grandir un petit humain ? Comment je me prépare, comment est-ce que je le ou la prépare, et qu’est-ce que je veux lui transmettre ? Comment créer les conditions qui lui assurent les moins pires conditions de vie possible, et est-ce seulement possible ?
Je me retrouve beaucoup dans les réflexions de Claire Zuliani.
Vieillir relativement privilégié dans une civilisation qui s’effondre c’est vivre avec la culpabilité d’avoir davantage participé à son déclin qu’à son essor.
La singularité des façons d’accueillir ce constat est à la fois notre force et notre faiblesse. Notre défi va être de pouvoir écarter les expériences insatisfaisantes rapidement et de faire passer à l’échelle celles qui génèrent de l’espoir.
Tout un programme. Politique ?