3 年之前 · 8fbb7206f2
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 <title>Horaires — David Larlet</title>
 <meta name="description" content="Autrement dit et pour résumer ces transformations, on peut parfaitement envisager dès maintenant une réduction massive du temps de travail. Ce n’est pas du tout « utopique » ou imaginaire de réclamer deux heures de travail par jour, du moins dans les secteurs susceptibles de l’automatisation-informatisation. D’ailleurs, compte tenu du fait que l’usure nerveuse est beaucoup plus grave et moins réparable que la fatigue musculaire, il est devenu indispensable dans ces métiers d’abréger les séquences de travail continu et de réduire déjà sérieusement la durée de la journée de travail. Mais ceci pourrait aller beaucoup plus loin. Or, il semble que ni dans le monde capitaliste ni dans le monde socialiste on ne soit décider à entrer dans cette voie. Il y a comme un blocage qui s’est effectué, et l’on choisit délibérément de ne pas appliquer les moyens techniques que l’on a à sa disposition pour maintenir l’ancienne structure à dominante industrielle. On introduit seulement de façon incoordonnée, à dose homéopathique, tel ou tel procédé. On automatise ici une chaîne de montage. On met en place une banque de données. On introduit un ordinateur etc. Mais il y a en réalité répugnance à changer le système.">
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    function toggleTheme(themeName) {
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        )
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        toggleTheme(selectedTheme)
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 <article>
 <header>
  <h1>Horaires</h1>
 </header>
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 <blockquote>
 <p>Autrement dit et pour résumer ces transformations, on peut parfaitement envisager dès maintenant une réduction massive du temps de travail. Ce n’est pas du tout «&nbsp;utopique&nbsp;» ou imaginaire de réclamer deux heures de travail par jour, du moins dans les secteurs susceptibles de l’automatisation-informatisation. D’ailleurs, compte tenu du fait que <mark>l’usure nerveuse est beaucoup plus grave et moins réparable que la fatigue musculaire</mark>, il est devenu indispensable dans ces métiers d’abréger les séquences de travail continu et de réduire déjà sérieusement la durée de la journée de travail. Mais ceci pourrait aller beaucoup plus loin. Or, il semble que ni dans le monde capitaliste ni dans le monde socialiste on ne soit décider à entrer dans cette voie. Il y a comme un blocage qui s’est effectué, et l’on <em>choisit</em> délibérément de ne pas appliquer les moyens techniques que l’on a à sa disposition pour maintenir l’ancienne structure à dominante industrielle. On introduit seulement de façon incoordonnée, à dose homéopathique, tel ou tel procédé. On automatise ici une chaîne de montage. On met en place une banque de données. On introduit un ordinateur etc. Mais il y a en réalité répugnance à changer le système.</p>
 <p>Ceci provient d’un certain nombre de difficultés qu’il ne faut pas méconnaître&nbsp;: une inadaptation idéologique évidente. Il y a une répugnance à abandonner «&nbsp;l’idéologie du travail&nbsp;», une angoisse à l’idée de tellement de temps «&nbsp;libre&nbsp;». On ne sait pas ce que deviendrait la vie humaine si elle n’était pas remplie par le travail. On soupçonne que cela supposerait un changement radical, total de société, de ses orientations, de ses objectifs, de ses structures, mais on n’est pas mûr pour tenter une pareille expérience.</p>
 <p><cite><em>Pour qui, pour quoi travaillons-nous&#8239;?</em>, Jacques Ellul, Foi &amp; Vie, n°4, juillet 1980</cite></p>
 </blockquote>
 <p>Facturation à la journée, à l’heure, parfois sur des créneaux un peu hybrides. Pas facile de trouver la granularité qui soit la plus pertinente en ce moment. À la fois pour mon énergie, et pour les produits, et pour les équipes.</p>
 <p>À cela vient s’intégrer, de manière transverse, la pénibilité de la tâche en elle-même. Comment facturer au temps lorsque cette durée n’est pas fatigante de manière équivalente d’une heure sur l’autre&#8239;? <em>Quid</em> de l’implication émotionnelle&#8239;? De ce <em>bug</em> que l’on amène courir avec soi&#8239;? De ce commentaire qui va longtemps rester en travers&#8239;?</p>
 <p>Je ne sais pas si la solution est la <a href="https://adactio.com/journal/18620">semaine</a> (<a href="/david/cache/2021/6513cd7104f4e6a8c7b3e0d759b467d8/">cache</a>) de <a href="https://blog.le-filament.com/posts/semaine-4jours/">4&nbsp;jours</a> (<a href="/david/cache/2021/c535b353e2af3eb65e4cf0de232bdad5/">cache</a>) ou celle de <a href="https://www.youtube.com/watch?v=iM2nQuwwuKQ">168&nbsp;heures</a>, il y a du vrai dans chacune de ces approches et des ressentis différents vis-à-vis du travail. De ces <a href="https://oncletom.io/2021/08/16/victoire-professionnels/">activités ayant créées des professions</a> (<a href="/david/cache/2021/1e65aa7484aa157870c2a1b735f36a26/">cache</a>) très lucratives et dont je bénéficie si facilement.</p>
 <p>Je payerais cher pour savoir ce que penserait Jacques Ellul d’une telle situation.</p>
 <hr />
 <p><mark>Lu depuis&nbsp;:</mark></p>

 <blockquote>
 <p>Mais il faudrait déjà que l’on se parle<br />
 Malgré les bouchons d’oreille les machines qui martèlent nos silences à la pause pourquoi se dire et quoi se dire d’ailleurs<br />
 Que l’on en chie<br />
 Que l’on peine à trouver le sommeil le week-end<br />
 Mais que l’on fait<br />
 Comme si<br />
 Tout allait bien<br />
 On a un boulot<br />
 Même si de merde<br />
 Même si l’on ne se repose pas<br />
 On gagne des sous<br />
 Et l’usine nous bouffera<br />
 Et nous bouffe déjà</p>
 <p><cite><em>À la ligne</em>, Joseph Ponthus</cite></p>
 </blockquote>
 <p>De quoi remettre en perspective mes questionnements de privilégié.</p>

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  </p>
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 </article>


 <hr>

 <footer>
  <p>
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        const form = themeSelectorTemplate.content.firstElementChild
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            const chosenColorScheme = e.target.value
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            form.querySelector(`[value="${selectedTheme}"]`).checked = true
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        let hasDarkRules = false
        for (const styleSheet of Array.from(document.styleSheets)) {
            let mediaRules = []
            for (const cssRule of styleSheet.cssRules) {
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                    continue
                }
                // WARNING: Safari does not have/supports `conditionText`.
                if (cssRule.conditionText) {
                    if (cssRule.conditionText !== prefersColorSchemeDark) {
                        continue
                    }
                } else {
                    if (cssRule.cssText.startsWith(prefersColorSchemeDark)) {
                        continue
                    }
                }
                mediaRules = mediaRules.concat(Array.from(cssRule.cssRules))
            }

            // WARNING: do not try to insert a Rule to a styleSheet you are
            // currently iterating on, otherwise the browser will be stuck
            // in a infinite loop…
            for (const mediaRule of mediaRules) {
                styleSheet.insertRule(mediaRule.cssText)
                hasDarkRules = true
            }
        }
        if (hasDarkRules) {
            loadThemeForm('#theme-selector')
        }
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 </body>
 </html>
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    <h2><a href="/david/2021/11/22/">Jour 2</a> (2021-11-22)</h2>
  
    <h2><a href="/david/2021/11/23/">Horaires</a> (2021-11-23)</h2>
  
 </main>


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+++ b/david/2021/sources/2021-11-23
@@ -0,0 +1,37 @@
 # Horaires

 > Autrement dit et pour résumer ces transformations, on peut parfaitement envisager dès maintenant une réduction massive du temps de travail. Ce n’est pas du tout « utopique » ou imaginaire de réclamer deux heures de travail par jour, du moins dans les secteurs susceptibles de l’automatisation-informatisation. D’ailleurs, compte tenu du fait que ==l’usure nerveuse est beaucoup plus grave et moins réparable que la fatigue musculaire==, il est devenu indispensable dans ces métiers d’abréger les séquences de travail continu et de réduire déjà sérieusement la durée de la journée de travail. Mais ceci pourrait aller beaucoup plus loin. Or, il semble que ni dans le monde capitaliste ni dans le monde socialiste on ne soit décider à entrer dans cette voie. Il y a comme un blocage qui s’est effectué, et l’on *choisit* délibérément de ne pas appliquer les moyens techniques que l’on a à sa disposition pour maintenir l’ancienne structure à dominante industrielle. On introduit seulement de façon incoordonnée, à dose homéopathique, tel ou tel procédé. On automatise ici une chaîne de montage. On met en place une banque de données. On introduit un ordinateur etc. Mais il y a en réalité répugnance à changer le système.
 >
 > Ceci provient d’un certain nombre de difficultés qu’il ne faut pas méconnaître : une inadaptation idéologique évidente. Il y a une répugnance à abandonner « l’idéologie du travail », une angoisse à l’idée de tellement de temps « libre ». On ne sait pas ce que deviendrait la vie humaine si elle n’était pas remplie par le travail. On soupçonne que cela supposerait un changement radical, total de société, de ses orientations, de ses objectifs, de ses structures, mais on n’est pas mûr pour tenter une pareille expérience.
 >
 > <cite>*Pour qui, pour quoi travaillons-nous ?*, Jacques Ellul, Foi & Vie, n°4, juillet 1980</cite>

 Facturation à la journée, à l’heure, parfois sur des créneaux un peu hybrides. Pas facile de trouver la granularité qui soit la plus pertinente en ce moment. À la fois pour mon énergie, et pour les produits, et pour les équipes.

 À cela vient s’intégrer, de manière transverse, la pénibilité de la tâche en elle-même. Comment facturer au temps lorsque cette durée n’est pas fatigante de manière équivalente d’une heure sur l’autre ? *Quid* de l’implication émotionnelle ? De ce *bug* que l’on amène courir avec soi ? De ce commentaire qui va longtemps rester en travers ?

 Je ne sais pas si la solution est la [semaine](https://adactio.com/journal/18620) ([cache](/david/cache/2021/6513cd7104f4e6a8c7b3e0d759b467d8/)) de [4 jours](https://blog.le-filament.com/posts/semaine-4jours/) ([cache](/david/cache/2021/c535b353e2af3eb65e4cf0de232bdad5/)) ou celle de [168 heures](https://www.youtube.com/watch?v=iM2nQuwwuKQ), il y a du vrai dans chacune de ces approches et des ressentis différents vis-à-vis du travail. De ces [activités ayant créées des professions](https://oncletom.io/2021/08/16/victoire-professionnels/) ([cache](/david/cache/2021/1e65aa7484aa157870c2a1b735f36a26/)) très lucratives et dont je bénéficie si facilement.

 Je payerais cher pour savoir ce que penserait Jacques Ellul d’une telle situation.

 ---

 ==Lu depuis :==

 > Mais il faudrait déjà que l’on se parle  
 > Malgré les bouchons d’oreille les machines qui martèlent nos silences à la pause pourquoi se dire et quoi se dire d’ailleurs  
 > Que l’on en chie  
 > Que l’on peine à trouver le sommeil le week-end  
 > Mais que l’on fait  
 > Comme si  
 > Tout allait bien  
 > On a un boulot  
 > Même si de merde  
 > Même si l’on ne se repose pas  
 > On gagne des sous  
 > Et l’usine nous bouffera  
 > Et nous bouffe déjà
 >
 > <cite>*À la ligne*, Joseph Ponthus</cite>

 De quoi remettre en perspective mes questionnements de privilégié.
--- a/david/index.html
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@@ -95,7 +95,8 @@
      <a href="/david/2021/11/19/">Capteurs</a>, 
      <a href="/david/2021/11/20/">Hypertélie</a>, 
      <a href="/david/2021/11/21/">Jour 1</a>, 
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      <a href="/david/2021/11/22/">Jour 2</a>, 
      <a href="/david/2021/11/23/">Horaires</a>.
      
    </p>
  
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@@ -6,13 +6,52 @@
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    <updated>2021-11-29T12:00:00+01:00</updated>
    <updated>2021-11-30T12:00:00+01:00</updated>
    <author>
        <name>David Larlet</name>
        <uri>https://larlet.fr/david/</uri>
    </author>
    <rights>Copyright (c) 2004-2021, David Larlet</rights>
    
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            <title type="html">Horaires</title>
            <link href="https://larlet.fr/david/2021/11/23/" rel="alternate" type="text/html" />
            <updated>2021-11-23T12:00:00+01:00</updated>
            <id>https://larlet.fr/david/2021/11/23/</id>
            <summary type="html">

 &lt;blockquote&gt;
 &lt;p&gt;Autrement dit et pour résumer ces transformations, on peut parfaitement envisager dès maintenant une réduction massive du temps de travail. Ce n’est pas du tout «&amp;nbsp;utopique&amp;nbsp;» ou imaginaire de réclamer deux heures de travail par jour, du moins dans les secteurs susceptibles de l’automatisation-informatisation. D’ailleurs, compte tenu du fait que &lt;mark&gt;l’usure nerveuse est beaucoup plus grave et moins réparable que la fatigue musculaire&lt;/mark&gt;, il est devenu indispensable dans ces métiers d’abréger les séquences de travail continu et de réduire déjà sérieusement la durée de la journée de travail. Mais ceci pourrait aller beaucoup plus loin. Or, il semble que ni dans le monde capitaliste ni dans le monde socialiste on ne soit décider à entrer dans cette voie. Il y a comme un blocage qui s’est effectué, et l’on &lt;em&gt;choisit&lt;/em&gt; délibérément de ne pas appliquer les moyens techniques que l’on a à sa disposition pour maintenir l’ancienne structure à dominante industrielle. On introduit seulement de façon incoordonnée, à dose homéopathique, tel ou tel procédé. On automatise ici une chaîne de montage. On met en place une banque de données. On introduit un ordinateur etc. Mais il y a en réalité répugnance à changer le système.&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;Ceci provient d’un certain nombre de difficultés qu’il ne faut pas méconnaître&amp;nbsp;: une inadaptation idéologique évidente. Il y a une répugnance à abandonner «&amp;nbsp;l’idéologie du travail&amp;nbsp;», une angoisse à l’idée de tellement de temps «&amp;nbsp;libre&amp;nbsp;». On ne sait pas ce que deviendrait la vie humaine si elle n’était pas remplie par le travail. On soupçonne que cela supposerait un changement radical, total de société, de ses orientations, de ses objectifs, de ses structures, mais on n’est pas mûr pour tenter une pareille expérience.&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;&lt;cite&gt;&lt;em&gt;Pour qui, pour quoi travaillons-nous&amp;#8239;?&lt;/em&gt;, Jacques Ellul, Foi &amp;amp; Vie, n°4, juillet 1980&lt;/cite&gt;&lt;/p&gt;
 &lt;/blockquote&gt;
 &lt;p&gt;Facturation à la journée, à l’heure, parfois sur des créneaux un peu hybrides. Pas facile de trouver la granularité qui soit la plus pertinente en ce moment. À la fois pour mon énergie, et pour les produits, et pour les équipes.&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;À cela vient s’intégrer, de manière transverse, la pénibilité de la tâche en elle-même. Comment facturer au temps lorsque cette durée n’est pas fatigante de manière équivalente d’une heure sur l’autre&amp;#8239;? &lt;em&gt;Quid&lt;/em&gt; de l’implication émotionnelle&amp;#8239;? De ce &lt;em&gt;bug&lt;/em&gt; que l’on amène courir avec soi&amp;#8239;? De ce commentaire qui va longtemps rester en travers&amp;#8239;?&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;Je ne sais pas si la solution est la &lt;a href=&quot;https://adactio.com/journal/18620&quot;&gt;semaine&lt;/a&gt; (&lt;a href=&quot;https://larlet.fr/david/cache/2021/6513cd7104f4e6a8c7b3e0d759b467d8/&quot;&gt;cache&lt;/a&gt;) de &lt;a href=&quot;https://blog.le-filament.com/posts/semaine-4jours/&quot;&gt;4&amp;nbsp;jours&lt;/a&gt; (&lt;a href=&quot;https://larlet.fr/david/cache/2021/c535b353e2af3eb65e4cf0de232bdad5/&quot;&gt;cache&lt;/a&gt;) ou celle de &lt;a href=&quot;https://www.youtube.com/watch?v=iM2nQuwwuKQ&quot;&gt;168&amp;nbsp;heures&lt;/a&gt;, il y a du vrai dans chacune de ces approches et des ressentis différents vis-à-vis du travail. De ces &lt;a href=&quot;https://oncletom.io/2021/08/16/victoire-professionnels/&quot;&gt;activités ayant créées des professions&lt;/a&gt; (&lt;a href=&quot;https://larlet.fr/david/cache/2021/1e65aa7484aa157870c2a1b735f36a26/&quot;&gt;cache&lt;/a&gt;) très lucratives et dont je bénéficie si facilement.&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;Je payerais cher pour savoir ce que penserait Jacques Ellul d’une telle situation.&lt;/p&gt;
 &lt;hr /&gt;
 &lt;p&gt;&lt;mark&gt;Lu depuis&amp;nbsp;:&lt;/mark&gt;&lt;/p&gt;

 &lt;blockquote&gt;
 &lt;p&gt;Mais il faudrait déjà que l’on se parle&lt;br /&gt;
 Malgré les bouchons d’oreille les machines qui martèlent nos silences à la pause pourquoi se dire et quoi se dire d’ailleurs&lt;br /&gt;
 Que l’on en chie&lt;br /&gt;
 Que l’on peine à trouver le sommeil le week-end&lt;br /&gt;
 Mais que l’on fait&lt;br /&gt;
 Comme si&lt;br /&gt;
 Tout allait bien&lt;br /&gt;
 On a un boulot&lt;br /&gt;
 Même si de merde&lt;br /&gt;
 Même si l’on ne se repose pas&lt;br /&gt;
 On gagne des sous&lt;br /&gt;
 Et l’usine nous bouffera&lt;br /&gt;
 Et nous bouffe déjà&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;&lt;cite&gt;&lt;em&gt;À la ligne&lt;/em&gt;, Joseph Ponthus&lt;/cite&gt;&lt;/p&gt;
 &lt;/blockquote&gt;
 &lt;p&gt;De quoi remettre en perspective mes questionnements de privilégié.&lt;/p&gt;
 &lt;hr/&gt;&lt;p&gt;&lt;a href=&quot;mailto:david@larlet.fr&quot;&gt;Réagir ?&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;</summary>
        </entry>
    
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            <title type="html">Jour 2</title>
            <link href="https://larlet.fr/david/2021/11/22/" rel="alternate" type="text/html" />
@@ -659,22 +698,6 @@
 &lt;p&gt;&lt;em&gt;Oh boy, ce titre…&lt;/em&gt;&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;Suite à des échanges avec &lt;a href=&quot;https://www.hypothermia.fr/&quot;&gt;Eliness&lt;/a&gt;, je me demande si l’invitation à &lt;a href=&quot;https://larlet.fr/david/2021/10/09/&quot; title=&quot;Slowgrégateur&quot;&gt;découvrir d’anciens contenus via le flux&lt;/a&gt; pourrait se faire manuellement. Après tout, cela pourrait être un choix éditorial que celui de proposer de vieux articles… qui pourraient avoir un lien plus ou moins ténu avec la publication récente.&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;Sans essayer de l’automatiser ou de le rendre aléatoire, qu’est-ce qui serait im·pertinent de faire à cet endroit là&amp;#8239;? Et si ces liens pointaient vers l’extérieur&amp;#8239;? Et si ces liens étaient choisis par les lecteur·ices&amp;#8239;? Et si.&lt;/p&gt;
 &lt;hr/&gt;&lt;p&gt;&lt;a href=&quot;mailto:david@larlet.fr&quot;&gt;Réagir ?&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;</summary>
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            <title type="html">Lecteur d’écran</title>
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            <updated>2021-10-19T12:00:00+01:00</updated>
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 &lt;blockquote lang=&quot;en&quot;&gt;
 &lt;p&gt;Another false assumption is that screen readers understand the human content they are reading. &lt;mark&gt;They do not.&lt;/mark&gt; Mostly. Screen reader heuristics will look at some strings of characters and announce them differently than what you may see (1&lt;sup&gt;st&lt;/sup&gt; as &amp;quot;first&amp;quot;). But even that varies across screen readers &lt;em&gt;and&lt;/em&gt; browsers.&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;&lt;cite&gt;&lt;em&gt;&lt;a href=&quot;https://adrianroselli.com/2021/10/blaming-screen-readers-red-flag.html&quot;&gt;Blaming Screen Readers 🚩×5&lt;/a&gt;&lt;/em&gt; (&lt;a href=&quot;https://larlet.fr/david/cache/2021/4e5e21da7b89d6a426d51423b0c1a062/&quot;&gt;cache&lt;/a&gt;)&lt;/cite&gt;&lt;/p&gt;
 &lt;/blockquote&gt;
 &lt;p&gt;C’est la réflexion que je me faisais lorsqu’on parle d’accessibilité et de point médian pour une écriture inclusive&amp;nbsp;: pourquoi ne pas faire évoluer les outils si c’est là que la conversion pose problème&amp;#8239;?&lt;/p&gt;
 &lt;p&gt;Adrian Roselli y répond en partie dans son article, ça n’est pas aussi simple — ni rapide — que ça en a l’air. Les solutions faisant appel à la technique (des autres) sont si confortables…&lt;/p&gt;
 &lt;hr/&gt;&lt;p&gt;&lt;a href=&quot;mailto:david@larlet.fr&quot;&gt;Réagir ?&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;</summary>
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