title: Automne enfoui
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L'hirondelle rouge, Jean-Michel Maulpoix. La nuit qui vient est épaisse. Long, le chemin qui se perd dans les bois noirs. À chacun de s'y préparer.
Hier toujours dans Le Petit Havre de avril 1914, je découvre que le grand cinéma Gaumont diffuse « Atlantis » Le drame de la mer le plus émouvant édité jusqu'ici. Ce film nous fait assister à l'engloutissement réel d'un grand paquebot et à toutes les phases angoissantes d'une épouvantable catastrophe au milieu de l'Océan. Atlantis, que tout le monde voudra voir, est le phénoménal tour de force réalisé à ce jour par la cinématographie.
Le film Atlantis (1913) se déroule en partie à Berlin et New-York. J'aime dans ces vieux films, que nous ayons le temps du décor. Le temps d'observer et de découvrir les éléments du quotidien, décoration des appartements, mobiliers, moyens de transport, véhicules, publicités et affiches. Le film « Atlantis » est disponible au complet.
Beau reportage photo à propos du village de Shoyna en Russie, sur une côte de la Mer Blanche. D'autres photographies de ce village enfoui dans le sable. À noter que les reportages ressortent régulièrement à propos de ce village.
HTTP/3… vraiment ?
J'ai définitivement une réticence aux systèmes qui reposent sur les services distants : Heroku, AWS et consorts. Plus je les utilise et plus je trouve cela contraignant… Et pourtant, comme je ne suis pas à une contradiction près, j'utilise GitHub et mon serveur est hébergé sur la plateforme Gandi. Je ne sais pas bien pourquoi, mais j'ai toujours un désir de rapatrier tout cela à la maison, sur un serveur local. Et même si en quelque sorte cela entraîne une autre fragilité ou d'autres types de contraintes. Et pourtant la mutualisation de ressources représente probablement un gain écologique en évitant de répéter les mêmes systèmes un peu partout. Et pourtant, la mutualisation n'est pas toujours bonne non plus, comme le plantage de GitHub pendant 24h récemment.
L'hirondelle rouge, Jean-Michel Maulpoix. Dans la glace, parfois, le visage de mon père. Sa fatigue. Dans mes gestes, ses gestes.